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Les leaders religieux Maliens face à l’Etat : Vers un règlement de compte personnel macabre.

<< Vous pouvez voir le chien aboyer sur un hérisson mais jamais il ne pourra jamais le toucher >> dixit le premier ministre Malien son excellence Soumeylou Boubeye Maïga.
Soutenu et certe financé par les leaders religieux et l’ensemble des Maliens lors des élections de 2013, IBK voudrait être un président fort et indépendant sans influence militaire de la junte de Kati qui ne fera plus peur Bamako et les leaders religieux. Ses compagnons d’hier sont des ennemis jurés aujourd’hui. Après avoir appeler à un rassemblement au stade du 26 Mars le 10 février 2019 contre à vrai le gouvernement de Soumeylou Boubeye Maïga sous couvert d’un appel aux bénédictions pour la patrie, les propos incendiaire furent tenu par le président du HCI sortant Mahamoud Dicko qui a martelé que les Peuhls sont massacrés pour leur religion, Hélas. Les initiateurs ont exigés la démission du premier ministre SBM, le nommé de l’elu président IBK pour le projet d’éducation sexuelle inclusive au Mali. Vilipendé par cette minorité de force squelettique, le président IBK a renouvelé sa confiance à son mentor. Chacun cherche à dicter son point de vue au président. Le Cherif de Nioro à martelé des la prise de fonction du président de la République de ne pas nommer Soumeylou Boubeye Maïga à certains postes bien avant ce fameux projet d’éducation sexuelle inclusive , d’autres exigent qu’il chassé la Minusma et les forces étrangères et enfin d’autres veulent qu’il met fin aux fonctions de son premier ministre SBM. Dictature ou pas?

 


En Tout cas nous voulons un président fort et déterminé. Abandonné par presque toute la classe politique, les organisations syndicales, les leaders religieux, le président doit faire face à un autre défis lancé par les leaders religieux le vendredi 05 Avril 2019 après la prière de Djuma Musulman.
Le pays traverse les séries de crises conjoncturelles et structurelles qui mérite des solutions durables immédiates par l’apport de ses fils. Les opposants politiques se cachent derrière les leaders religieux pour semer chaos et zizanie macabre. Sur la chaîne de télévision France 24, Youssouf Aly Bathily dit Ras Bath s’insurgait contre les leaders religieux l’année dernière quelques mois avant l’élection présidentielle aujourd’hui fait l’éloge de ces leaders contre le président de la République. Hypocrisie rivalité ou raison personne, tous les mots sont les bienvenues.

Le porte parole du président du HCI Mr Issa Kaou Gym menace le président de la République, menace que l’on sous-entend renversement de régime.
Grève des enseignants, l’opération Ami Bulldozer Kane, menace d’une année blanche scolaire, flambée des prix, cherté de la vie, insécurité au centre, stabilité au Nord, corruption généralisée etc… Les leaders religieux ont gardés le mutisme en faisant volte face à la population. Aujourd’hui ils appellent ce même peuple à assouvir leur désir honteux contre Le président de la République et son premier ministre.
L’heure est grave et cette marge sauvage n’est pas sans conséquence pour le pays. En Mars 1991, plus de 170 Maliens ont été trepassés par les balles des mercenaires étrangers et imputées cette scène macabre et funeste au général 5 étoiles président Moussa Traoré.
Le président n’a certe pas des soutiens intellectuels de taille peut être ni la volonté de travailler mais il a intérêt de se débarrasser des jeunes comédiens, des proches malhonnêtes et recrutent les ressources humaines de qualités pour la marche de sa vision et la stabilité du régime.
Doit on obliger le président à se débarrasser de son collaborateur comme le fait des LR?
Un président doit il se plier aux voeux d’une minorité squelettique?
En tout cas, le rôle d’un leader religieux est de prôner la paix, la cohésion sociale et non à la déstabilisation du pays.
Comme le dit le premier ministre Soumeylou Boubeye Maïga le 10 février 2019 après la rencontre des leaders religieux au stade << Ceux sont des forces hybrides de multiples facettes qui nous combattait hier et nous combattent aujourd’hui. S’ils avaient la force je serais pas à ce poste aujourd’hui .>>

Vive la cohésion sociale entre Dogons et Peuhls
Vive la cohésion sociale
Vive la paix
Vive les institutions de la République
Vive le Mali au coeur d’une Afrique unie et prospère

Source: Mali Tribune

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