Après l’augmentation spectaculaire des droits de douane sur les véhicules, tous les yeux sont rivés sur la vignette des véhicules et la gestion qui en sera faite par des services financiers aux abois. Seulement voilà : à moins d’un miracle les détenteurs d’automobiles auront peut-être le bonheur très relatif d’en être épargné cette année. Surtout pas par générosité des autorités financières, mais par l’incurie des structures chargée de rendre disponible les stickers.
A quelques encablures de la date habituellement indiquée pour la ventilation des vignettes, les stocks ne sont pas encore livrés à qui de droit. La faute, dit-on, à un changement de fournisseur ou du moins à un choix de fournisseur en fonction des intérêts de certains. A la différence des années précédentes, nous a-t-on confié, le marché de leur confection a été exceptionnellement confié à un prestataire local. Il s’agit probablement de Tomota, qui accuse un retard de livraison si énorme que pour 2019 un renoncement à la vignette est de plus en plus plausible. Un autre manque à gagner susceptible d’affecter les prévisions de recettes.
Source: Le Temoin