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Législatives au Mali : timide démarrage, incertitude à Kidal

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Les élections législatives ont lieu ce dimanche au Mali et est placé sous haute surveillance, par craintes d’attentats de jihadistes. Ils sont environs 6,5 millions d’électeurs à être appelés à voter ce dimanche lors des élections législatives qui ont démarré timidement. Cependant, une grande incertitude règne à KIdal.

Les élections législatives ont lieu ce dimanche au Mali et est placé sous haute surveillance, par craintes d’attentats de jihadistes. Ils sont environs 6,5 millions d’électeurs à être appelés à voter ce dimanche, lors des élections législatives qui, faut-il le souligner, ont démarré timidement, avec une branche d’incertitude à Kidal.

Ces Législatives sont appelées à parachever le retour à l’ordre constitutionnel mis à mal par le coup d’Etat de mars 2012 qui avait évincé l’ancien chef de l’Etat, Amadou Toumani Touré. Le constat est là : l’affluence est faible à l’ouverture des bureaux de vote à Bamako. Selon l’AFP, la campagne électorale a été terne et a peu mobilisé. Ce qui pourrait donc avoir une incidence directe sur le taux de participation. L’objectif du Rassemblement pour le Mali (RPM), le parti présidentiel, est de donner au chef de l’Etat une majorité confortable parmi les 147 députés de l’Assemblée nationale. Ce qui, selon les proches d’IBK, devrait permettre au dirigeant malien de mener à bien sa mission de redressement du pays.

La grande incertitude est le scrutin à Kidal (nord), où règne le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), rébellion qui impose une anarchie sans pareil, malgré une forte présence militaire française.

 

Source : Afrik

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