Tout le monde a commenté le slip blanc de Cristiano Ronaldo, ce désir chez lui d’exhiber son anatomie, de montrer ses muscles, d’afficher son corps.

Nul besoin de passer chez le divan du docteur Freud pour comprendre que CR7 adore qu’on le remarque, qu’on le regarde et qu’on l’aime. Plaisir enfantin du grand garçon qu’il est. Miroir, miroir, suis-je le plus beau du pays, du monde et de l’univers ?

Le Portugais porte un slip à l’ancienne, blanc devant et blanc derrière, et si vous regardez avec attention la photo, vous distinguerez le chiffre 7, inscrit en minuscule juste au centre de la culotte, précisément à l’endroit où on devine le phallus (appelons un chat, un chat et une verge, une verge, que diable !) de l’homme qui affole les fans de tous les sexes.

Cristiano Ronaldo est un poil exhib’. Rien de nouveau. Il suffit d’ouvrir un magazine pour le découvrir en petit tenue. Ce n’est pas ça qui a retenu mon attention. C’est autre chose, un détail qui n’en est pas un. Un truc que l’inspecteur Colombo aurait découvert tout seul. Le slip de CR7, je le répète est blanc comme neige. Voilà un footballeur qui joue un Classico, dispute un des matches de l’année, passe forcément par la case toilettes avant la rencontre, reste plus de 90 minutes sur une pelouse, marque un but. Et à l’issue de tout ça, son slip est immaculé. Blanc de blanc. Frais comme la rose. Incroyable, non ?

A moins que…

A moins que Cristiano Ronaldo n’ait enfilé ce slip pour la photo, qu’il ne se soit changé en entrant dans le vestiaire pour apparaitre beau comme une statue grecque et propre comme un sou neuf.

Je vous laisse méditer sur cet artifice. Je n’irai pas jusqu’à dire que le slip de CR7 soit essentiel. Mais enfin, la chose fait causer.

Pascal

Source: Yahoo