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Le Représentant Spécial du Secrétaire Général et Chef de la MINUSMA, Monsieur Mahamat Saleh Annadif a rencontré Mme Angele Djohossou, Représentante du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Refugiés (UNHCR).

L’entretien a porté sur la situation humanitaire dans le pays en général et plus precisement sur celle des réfugiés.

Mahamat Saleh Annadif chef minusma

Le Représentant Spécial du Secrétaire Général et Chef de la MINUSMA, Monsieur Mahamat Saleh Annadif a rencontré le Maire adjoint de Tessalit, M. Ismail Ag Mohamed, le Président du Conseil régional de Kidal, M. Haminy Belco Maiga et l’honorable Aicha Belco Maiga ainsi qu’une personne ressource.

Les échanges ont porté sur la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali ainsi que sur le renforcement de la cohésion sociale. A cet égard, les invités du RSSG lui ont essentiellement fait part de l’organisation prochaine d’un évènement relatif au règlement des problèmes inter et intracommunautaires à Tessalit, prévu pour avoir lieu du 21 au 22 Janvier.

 

 

Monsieur Mahamat Saleh Annadif, Représentant Spécial du Secrétaire Général et Chef de la MINUSMA, a reçu en audience M. Michel Sidibé, envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies au 27ème Sommet Afrique-France qui aura lieu à Bamako les 13 et 14 janvier prochains.

Placé sous le signe de la Paix et de la Sécurité, l’évènement réunira 53 chefs d’Etats et de Gouvernements ainsi que de nombreux chefs d’institutions internationales.

 

 

La MINUSMA lance les travaux de construction d’une infirmerie au profit de la Direction Régionale de la Protection Civile à Gao

MISSION DES NATIONS UNIES AU MALI – MINUSMA·MARDI 10 JANVIER 2017

Le chef du bureau régional de la MINUSMA à Gao, M. Mohamed El-Amine Souef, a posé ce lundi 9 janvier 2017 la première pierre pour lancer les travaux de construction d’une infirmerie de la Direction Régionale de la Protection Civile (DRPC).  La valeur de ce Projet à Impact Rapide (QIP) s’élève à plus de plus de 30 millions de francs CFA.  Le représentant du Gouverneur de la région, M. Hamadoun Barry, et le Commandant de la DRPC, Dao Tioukiri, y étaient aussi.

« La réalisation de ce projet initié par la Police onusienne (UNPOL) contribuera à l’amélioration des conditions de santé du personnel de la DRPC et de leurs familles, mais également de la population de la région de Gao.  Le projet vise aussi à satisfaire les besoins de la communauté en matière de prévention et de prise en charge des cas relevant de la spécialité de la protection civile, notamment les victimes d’accidents, les cas de noyades et les catastrophes naturelles », a souligné le Chef de Bureau de la Mission onusienne lors de son intervention.

La construction de cette structure médicale devrait durer quatre mois et permettra aux agents affectés aux travaux de bénéficier de bonnes conditions et d’assurer convenablement leurs missions premières, soit celle d’assister et de protéger les populations.  Le projet consiste également à équiper l’infirmerie en matériel médical, informatique, bureautique et mobilier.

Le commandant Dao Tioukiri a remercié la Mission onusienne « qui a toujours apporté son appui à notre structure par la réhabilitation et le renforcement de capacité opérationnelle en l’équipant entre autres de zodiacs et d’accessoires de protection, d’une pirogue avec moteur d’une valeur de plus de 24 million de Francs CFA et de six motopompes dans le but de renforcer notre capacité opérationnelle en matière de gestion des inondations. »

L’infirmerie, une fois construite et équipée, permettra à la Direction Régionale de la Protection Civile de réagir adéquatement dans le cadre de l’exécution de sa mission qui est d’assister et de protéger les populations civiles, notamment les plus vulnérables (femmes et enfants).

 

 

Le mandat de la MINUSMA et l’utilisation des technologies de l’information au cœur des discussions

MISSION DES NATIONS UNIES AU MALI – MINUSMA·LUNDI 9 JANVIER 2017

Le 7 janvier, le Bureau de la Communication et de l’Information Publique de la MINUSMA (PIO) à Tombouctou, en collaboration avec le Centre Sankorelabs, a organisé au profit des jeunes de Tombouctou, une session de sensibilisation sur le mandat de la Mission onusienne et l’utilisation des réseaux sociaux. Une activité qui doit permettre à la MINUSMA de se rapprocher davantage des tombouctiennes et des tombouctiens afin de mieux les informer.

Créé à en juin 2016, le centre Sankorélabs est le premier espace numérique de Tombouctou. Il a pour vocation de familiariser les jeunes aux technologies de l’information et de la communication, pour leur faciliter l’accès à l’information en temps réel. « Aujourd’hui, la maîtrise des technologies est une nécessité absolue parce qu’elles font de plus en plus partie du quotidien des populations et demeurent le moyen de travail le plus efficace et le plus rapide, » a déclaré Fatouma Harber, blogueuse.

Réunissant environ 45 jeunes, la séance s’est déroulée à Badjindé en présence de Sadou Abidine Diallo, parrain du centre, et de Piergiorgio Paglialonga, Responsable du Bureau de la Communication et de l’Information Publique de la MINUSMA à Tombouctou. La rencontre visait à initier les jeunes au bon usage des réseaux sociaux, mais aussi à les édifier sur le rôle de la MINUSMA dans le processus de paix au Mali.

Au cours de la rencontre, les participants ont pu en apprendre davantage sur les enjeux, le rôle des réseaux sociaux et les opportunités qu’ils offrent. Le mandat, le rôle du personnel en uniforme et les activités réalisées dans la région de Tombouctou ont également fait l’objet d’une communication. « Il est vrai que les réseaux sociaux sont des moyens de communication rapides et efficaces pour donner des informations ou exprimer son point de vue, mais il faut les utiliser avec beaucoup de prudence, dans le but de donner des informations fiables, » a souligné Piergiorgio Paglialonga.

 

 

 

Après Tombouctou, les Casques bleus de la MINUSMA apportent une assistance médicale aux communautés vulnérables de Goundam

MISSION DES NATIONS UNIES AU MALI – MINUSMA·LUNDI 9 JANVIER 2017

La Direction Régionale de la Santé de Tombouctou a accueilli le 6 janvier une cérémonie de remise de don de médicaments d’une valeur de près de 1,8 millions de Francs CFA offert par le Contingent nigérian de l’Hôpital de niveau II de la MINUSMA aux populations nécessiteuses de trois Communes du cercle de Goundam.

Mohamed Ali Ould Mohamed, Président de la Fédération Régionale des Associations de Santé Communautaire, a pris part à la modeste cérémonie aux côtés du Directeur Adjoint de la Direction Régional de la Santé de Tombouctou.

La santé communautaire est un domaine de la santé publique qui implique une réelle participation de la communauté à l’amélioration de sa santé. Les Centre Communautaires sont gérés par la société civile, qui est constituée en structures socio-sanitaires. Il y a la Fédération Régionale des Associations de Santé Communautaire (FERASCOM) au niveau régional, la Fédération Locale des Associations de Santé Communautaire (FLASCOM) au niveau Cercle, et l’Association de Santé Communautaire (ASACO) au niveau des Aires.

Les médicaments remis sont composés entre autres d’antibiotiques et d’antipaludéens. Ils seront répartis entre trois Centres de Santé Communautaire (CSCOM) des Communes de: M’Bouna, Gargando et Bintagougou. « Ces médicaments vont contribuer à reconstituer les dépôts pharmaceutiques de nos CSCOM et cela va permettre à nos populations d’avoir accès aux soins sans recouvrement, »  a déclaré Mohamed Ali Ould Mohamed.

Le Contingent nigérian de l’Hôpital de niveau II est le troisième contingent médical déployé à Tombouctou. Il est constitué des éléments spécialisés dans la stabilisation et la réanimation d’urgence, la réalisation d’interventions chirurgicales de sauvetage, l’administration de soins dentaires de base et l’évacuation des blessés au niveau du secteur Ouest.

L’évènement a réuni une dizaine d’agents sanitaires de Tombouctou, en présence de M. Ba Adesina, Commandant du Contingent nigérian, et de l’officier en charge des activités civilo-militaires de la MINUSMA, Richard Bonkougou.

Pour rappel, les Casques bleus du contingent bangladais avaient, le 6 décembre dernier, fait un don similaire à la Direction Régional de la Santé de Tombouctou. Ces gestes ne sont pas isolés : ils s’inscrivent dans la tradition d’assistance qu’entretiennent les Casques bleus vis-à-vis des populations hôtes et sont posés dans le cadre des activités civilo-militaires.

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