‘‘Ni la CMA , ni la partie malienne ne peuvent revenir seules sur l’Accord, car il y a trois parties’’

Les débats se poursuivent au CICB désormais avec les sujets importants. Hier, le dialogue était à sa quatrième journée. Et sur les quatre commissions qui composent le dialogue, nous avons suivi la commission paix, sécurité, cohésion nationale et politique institutionnelle. Les participants ont débattu sur des questions relatives à la paix, la sécurité, la cohésion nationale, les aspects politique et institutionnels du pays. Mais l’accord d’Alger a beaucoup plus nourri les débats.

Pas de répit pour les personnalités qui dirigent les débats dans chaque commission. Ce n’est pas le Professeur Younouss Dicko, président de la commission paix sécurité cohésion nationale et politique institutionnelle qui dira le contraire. Ce dernier, bien qu’âgé, ne se lasse pas quand il s’agit des sujets d’intérêt national. S’il souligne que les débats tournent autour des questions relatives à la paix, la sécurité, la cohésion nationale et surtout autour des aspects politique et institutionnels du Mali, il souligne par ailleurs la redondance de la question de l’Accord d’Alger.

« Nous avons débattu aussi de l’accord d’Alger » dit le président de cette commission ajoutant qu’ « hier, il y a eu des échauffourées dans la salle mais tout est rentré dans l’ordre ce matin ».

RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MERCREDI 18 DÉCEMBRE 2019

Par KADOASSO I

Source : Nouvel Horizon