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Le Mali dit stop à la propagande médiatique française

Le Bras de fer qui oppose notre pays à la France est loin de connaître son épilogue. Après avoir chassé l’Ambassadeur de la France dans notre pays, les autorités de la transition viennent d’interdire la diffusion de la Radio France internationale (RFI) en Ondes courtes et FM et de la télévision France 24 ainsi que toutes leurs plateformes digitales sur toute l’étendue du territoire national, pour ethnicisassions de l’insécurité et des fausses informations contre les FAMA. Cette décision a été largement commentée sur les réseaux sociaux. Beaucoup d’internautes apprécient la décision des autorités tandis que certains dénoncent une atteinte à la liberté d’expression et de presse. C’est le sujet de votre Facebookan du jour !

 

Steephen Kone’s : ce n’est pas tout, il faut couper internet, interdire tous les médias étrangers, y compris les réseaux étrangers que vous utilisez pour communiquer. Voilà comment une dictature s’installe dans un Pays. Le peuple malien est assez intelligent pour savoir ce qui est vrai ou faux.

Mamadou Niambélé : vous avez trop tardé à le faire. Ça ne doit même pas être une question de procédure. Il faut les suspendre immédiatement vu les fausses informations véhiculées sur notre vaillante armée. Il faut aussi retirer la nationalité malienne à Serge Daniel.

Hama Maiga : merci beaucoup au gouvernement malien. Je suis soulagé maintenant. Depuis longtemps je demandais ça. Vive le peuple digne de son gouvernement avec à sa tête des patriotes et PANAFRICAIN !!!

Alassane Diakite : enfin ! Nous avons longtemps attendu cette décision. Elle arrive avec une grande joie. Après l’échec sur toutes les lignes rouges tracées et affranchies par le Mali, il ne restait que le matraquage médiatique avec son style bien connu.

Bakaye Gano : ha ! Dieu soit loué il était temps, merci beaucoup aux autorités de la transition. Mais vous avez pris trop de temps. Vive la transition vive le gouvernement, vive l’armée, ensemble pour un Mali digne, fiers, unis et prospère.

Kolly Dianka : pourquoi vous écoutez toutes ces organisations bidons mêmes, instrumentalisées par la France. On parle de droit de l’homme quand on tue un terroriste infiltré, combien de soldats sont tombés depuis le début de cette crise imposée ?

Anta Oumar Haïdara : c’est ça la responsabilité d’un gouvernement, merci infiniment à la transition qui apaise l’esprit des maliens chaque jour avec de bonnes nouvelles.

Moustapha Diabate : félicitations au Peuple malien souverain maître de son destin ! Soutien à la transition pour un avenir radieux du Mali.

Ousseni Sawadogo : j’encourage le peuple malien et son gouvernement depuis le Burkina Faso. Vous avez compris la dignité et l’intérêt supérieur de votre nation. Que Dieu vous accompagne !

Mohamed Aguissa Cisse : bravo aux Autorités pour cette décision tant attendue par les maliens. La patrie ou la mort, nous vaincrons !

Sory Ibrahim Traore : malgré leur mauvais traitement de l’information (partialité, info déséquilibrée), la position du gouvernement est une atteinte à la liberté d’expression et de la presse. Le gouvernement doit revoir sa position !

Oumar Keita : l’esprit se nourrit d’information, et la crédibilité d’une information dépend de sa source aussi. Les sources d’information sont assez larges maintenant pour se focaliser à une seule. Ceux qui sont vraiment intéressés par la bonne information vont la chercher.

Nathanael Dembélé : pensez-vous que la censure soit la solution ? Je ne crois pas, la liberté d’expression et de penser doit exister toujours quel que soit les positions ! La transition n’a plus sa place allons vite à l’essentiel, les élections, trop d’erreurs !

Siaka N’tji Traore : et concernant Human Right Watcht qui est à l’origine du rapport ?

Saibou Sanogo : ce gouvernement nous dérange walaye ! Au lieu de chercher à travailler et de lutter contre les terroristes ; chaque jour c’est une autre histoire qu’il nous raconte. Ce n’est pas RFI ni France 24 qui a créé la guerre au Mali !

Souleymane Konaté : France 24 et RFI ne véhiculent que des fausses informations sur le Mali. La décision de les suspendre prise par nos autorités est à saluer. Je souhaite que les actions de ce genre se multiplient de la part des autorités de la transition.

Mamadou Kone : qu’est-ce que ce gouvernement t’a fait ? Dis le honnêtement, les esclaves de la France. Prurr tou moriya !

Monoko Toaly : suspension des médias ! Un faux débat ! Soyons réalistes, et cohérents !

Au lieu de passer tout votre temps à critiquer les autres, il faut plutôt demander à nos dirigeants de donner les moyens à leurs médias, pour travailler comme Rfi, France 24, et autres.

Le vrai débat est de mettre les médias et les journalistes dans les vraies conditions de travail.

Idrissa Kantao : certains maliens pensent que la suspension de ces médias est une mauvaise option, pourtant, la France et plusieurs pays occidentaux viennent de suspendre les médias Russe chez eux.

Soyons sages et préconisons l’intérêt de notre pays (le Mali).

Lassana Keita : grand frère il n’y a pas ton deux au Mali, ces medias sont là pour l’intérêt de la France !

Daouda Kinda : donc la jurisprudence de la suspension de la presse pour « intérêt national » est actée désormais ? Tôt ou tard un autre gouvernement suspendra la presse pour les mêmes raisons, j’ose espérer que les hommes de presse seront d’accord avec ça aussi.

Bakary Diarra : très bien fait ! Ils nous fatiguent ! En France toutes les chaînes diffusant les bonnes informations russes ont été fermées.

Bamoriba Daniogo : un journal doit être impartial et basé sur des faits réels. Pour ma part, souvent je me perds dans les informations données par ces médias dans ma propre maison.

Sanogo Sanogo : le gouvernement devrait faire ça depuis longtemps. Je pense que le gouvernement doit être encore plus ferme avec certains médias locaux qui sont les suppôts des médias de propagande comme Rfi, France 24, BBC, VOA, Jeune Afrique et autres…Tout média local qui diffuse des informations tendant à saper le moral des FAMA ou d’essayer de dénigrer les autorités maliennes doit être puni de la manière la plus corrective qu’il existe dans les textes en vigueur au Mali.

Source : Info-Matin

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