Selon les engagements nationaux actuels en matière de réduction des émissions, les jeunes générations de nos jours seront confrontées à sept fois plus de phénomènes climatiques défavorables au cours de leur vie que les générations nées dans les années 1960.
Il ressort que « l’exposition à des phénomènes météorologiques extrêmes liés au climat augmente le risque de migration forcée, réduit l’accès à une bonne nutrition, à l’éducation et à l’emploi, et menace de mettre en péril la santé physique et mentale des futurs adultes du monde. La quasi-totalité de la génération actuelle de 1,2 milliard d’adolescents âgés de 10 à 19 ans est exposée à au moins un danger, un choc ou un stress lié au climat et à l’environnement : canicules, cyclones, pollution atmosphérique, inondations et pénurie d’eau. Si l’on ne parvient pas à éviter une augmentation de la température mondiale de seulement 1,5°C, leur santé et leurs perspectives de survie seront extrêmement menacées », a-t-on dit aux délégués lors d’un événement organisé par le Partenariat pour la Santé de la Mère, du Nouveau-né et de l’Enfant (PMNCH) en marge de la 26ème Conférence des Parties des Nations Unies sur le changement climatique (COP26) à Glasgow. Les adolescents et les jeunes ne sont pas responsables de l’urgence du changement climatique, mais ils en subiront les conséquences les plus graves si le monde ne parvient pas à inverser rapidement les tendances à la hausse.
La conférence dénommée (…)
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TOUGOUNA A. TRAORE
Source : NOUVEL HORIZON