La migration est le déplacement de l’individu d’un État en un autre au regard des raisons que nous connaissions. En ce sens, dans le monde, plus des millions de personnes émigrent vers l’occident. Cette année, les choses semblent être plus difficiles à cause de la maladie à coronavirus. Malgré l’ouverture des frontières, la migration reste problème complexe.
La migration a été toujours un phénomène prioritaire pour un État. La raison qui pousse des milliers de migrants à risquer leur vie sur des embarcations de fortune est multiple. La plupart de ces problèmes sont liés aux conditions socio-économiques dans son pays d’origine. Début de cette année, l’UE aurait voulu exposer des mesures durables et efficaces pour gérer la migration, mais cette proposition serait anéantie à cause de la maladie du coronavirus. Malgré l’ouverture de certaines frontières en Europe, les centres d’accueil décidèrent que le dossier soit traité avec la mise en pratique des mesures édictées par les plus hautes autorités. Le flux migratoire international est extrêmement varié à travers les décisions prises par les États.
Ainsi, la migration semblait être gérée de manière que les dispositifs s’accompagnaient pour une meilleure coordination de la sécurité sanitaire. En Europe, les États n’y manquent toujours pas de fournir d’effort pour gérer la question migratoire en long terme. Et ce phénomène reste une préoccupation majeure pour les autorités du pays dans une situation de la pandémie que traverse le monde. Allemagne avait décrété un confinement partiel, mais les conditions de travail des salariés étrangers sont dénoncés à travers l’interdiction de grand rassemblement. En Amérique la situation reste un document à revoir afin d’analyser pour de meilleures examinassions. En dehors de cela, nous le constatons ainsi en Inde, au Pakistan, et au Nigeria.
Vu les conséquences de la maladie, le déplacement de la population en Afrique vers l’occident aurait de difficulté sur tout le plan, notamment à ce qui concernant la migration. La migration reste toujours un défi à relever pour les Etats, la création des emplois pour les migrants reste toujours à voir. Ajouter aux problèmes d’accès à des services publics et ceux des centres, les logements, les restos seraient appliqués à court terme. Chose qui serait défavorable pour les migrants, mais aussi à ceux qui ont l’affection de la diaspora. Nous craignons aussi concernant la question du racisme qui est un autre défi sur le plan mondial. Ces nombreux problèmes seraient forcement désavantageux pour les migrants et la migration elle-même.
Lassana Sow, stagiaire
Source : Le Combat