La maison d’un grand magistrat de ce pays est au centre d’une vive tension entre les populations et les professionnels du sexe, qui y travaillent. Les populations estimaient que la maison concernée ne devrait même pas être une maison close à plus forte raison être occupée 24/24 par des femmes.
Une délégation a été formée par les autorités coutumières pour aller en parler au juge, afin qu’il demande aux professionnels du sexe de libérer la maison, qui dérangeait tout le quartier. Selon nos sources, le juge n’ignorait que sa maison avait été transformée en chambres de passe tenues et gérées uniquement par des femmes. Après être venu constater de visu dans le quartier, il a présenté ses excuses aux populations avant de résilier le contrat qui le liait à une agence immobilière.
La Rédaction