Le cercle de Kati, dans la région de Koulikoro, est sur la voie du développement et du progrès. Le chef d’œuvre n’est autre le préfet du cercle, en l’occurrence Sadio Kéita. Cet administrateur civil de classe exceptionnelle qui, malgré les adversités, s’est battu inlassablement pour le développement et le bien-être des populations du cercle de Kati.
Nommé Préfet de Kati en 2015, l’administrateur civil de classe exceptionnelle a démontré à suffisance son patriotisme partout où il aura servi la patrie. Sadio Kéita, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est un homme connu pour son sens élevé du devoir et son sérieux dans le travail. Pour preuve, il est à la base de plusieurs réalisons. On peut citer, entre autres, le creusement de plusieurs forages (un à Darani, dans la commune de Mountougoula, un à Bakoumana, un à Kinyoroba, un à Ouélessébougou…); la construction et l’équipement des salles de classe; la construction d’un poste de contrôle de gendarmerie à Kati « dral »; la réalisation de plusieurs maraichages pour les femmes ; des panneaux solaires offerts à beaucoup de villages ; le bitumage d’une route menant au centre de santé de Kalabancoro. La liste n’est pas exhaustive.
Sociable et à l’écoute de la population, le préfet Keïta offre gracieusement chaque année un billet de voyage pour le pèlerinage à un travailleur du cercle.
Un incorruptible dans le viseur des prédateurs fonciers
Intègre, et malgré ses multiples réalisations dans le cercle, l’homme est dans le viseur des grands prédateurs fonciers du cercle de Kati et de la commune rurale de Kalaban-coro. Pour nuire à sa réputation, l’un de ses plus proches collaborateurs est à l’œuvre d’une campagne de dénigrement dans la presse. Ainsi, M. Kéita est traité de tous les noms d’oiseaux à la Une de certains journaux de la place.
Qui ne connait pas Sadio Kéita ? Ce cadre valable qui a laissé des encres indélébiles par le travail. « Pour rendre des loyaux services à ma chère patrie, le Mali en général et le cercle de Kati en particulier, je suis engagé et prêt à 100% sans réserve et aucune campagne de dénigrement ne saura me dévier sur ce chemin », nous a confié Sadio Keïta. Avant de poursuivre : « On peut me traiter de tous les noms d’oiseau ; que j’ai vendu, construit des villas à Dakar, que j’ai fait morceler et vendre des titres fonciers…Que j’ai fait ceci ou cela, je me remets à Dieu. Car lui seul connait la vérité…Je sais ceux qui sont dernière cette campagne de dénigrement. Parce que ce sont des grands prédateurs fonciers que je suis en train de combattre jour et nuit. Ils ont eu à me faire des propositions et me proposer des beaucoup d’argent. J’ai décliné leurs multiples offres…Car mon patriotisme, mon honneur et ma dignité ne sont pas à vendre… ».
De l’avis général, cet administrateur civil de classe exceptionnelle a les germes patriotiques dans sa veine. Sadio Kéita a un parcours exceptionnel.
Il occupa successivement le poste du chef d’arrondissement de Banikane, à Niafunké, de 1988 à 1993 ; chef d’arrondissement de Kanigogouna (cercle de Bandiagara) de 1993 à 1997; chef d’arrondissement de Kalaban-coro de 1997 à 1998; chef d’arrondissement central de Niono de 1998 à 2004.
- Kéita fut adjoint au préfet de Ménaka de 2005 à 2009 et celui de Mopti de 2009 à 2011. C’est de Mopti qu’il fut nommé préfet du cercle de Kayes de 2011 à 2015. De 2015 à nos jours, Sadio Kéita est le préfet du cercle de Kati. Membre de la première promotion (1985) du Service national des jeunes du centre d’instruction de Ségou, Sadio Kéita est Chevalier de l’ordre national depuis 2016.
Homme de dossiers, il est craint pour sa propension à dire tout haut ce que les autres pensent tout bas. Compétent, il est réputé très discret. Partout où il a servi, ses collaborateurs retiennent de lui sa rigueur, son franc-parler et son attachement à ses convictions.
En tous les cas, M. Kéita jouit d’une réputation irréprochable sur le plan professionnel. Et ce ne sont pas des campagnes de dénigrements des grands prédateurs fonciers de Kati et de la commune rurale de Kalaban-coro qui changeront cela.
La Rédaction
Source: Le Démocrate