Au Burundi, le blocage politique persiste. Pour tenter de sortir de l’impasse, l’ONU a nommé un nouvel envoyé spécial pour le pays. Il s’agit de l’ex-président de transition du Burkina Faso Michel Kafando.
Le nouvel émissaire onusien aura-t-il les coudées franches pour rétablir la confiance entre les frères ennemis burundais ou risque-t-il de subir le même sort que son prédécesseur Jamal Benomar, récusé par le pouvoir de Bujumbura? Voici le point de vue du président du Rassemblement des démocrates burundais, Me Jérémie Minani, interrogé par Eric Topona lors de son passage à Bonn.
Source: dw