Plus de vingt ans de vie conjugale, le couple avait déjà un enfant, un jeune garçon de 19 ans. Une vie de famille paisible et parfaite. Soudain un ami d’enfance de O.K, le mari de M.T, qu’il n’avait pas vu depuis des années fait son apparition. Celui-ci commence à fréquenter de nouveau la famille. Une fréquentation qui va basculer la vie de cet heureux couple.

‘’Sachant l’homosexualité de l’intime de mon mari, je faisais tout pour éviter le contact du M avec mon fils, car ce dernier était un bel homme valide » confie M.T. Un jour, j’ai surpris l’homosexuel dans mon salon, un soir, de retour de mon travail. Il jouait avec mon unique fils au jeu vidéo. Frustrée, je me suis maîtrisée en décidant d’aller le voir plus tard à son domicile et lui demander de s’éloigner de mon enfant. Cela a éveillé beaucoup de doute chez moi concernant mon enfant. Je me demandais si celui-ci n’était pas aussi un homosexuel. « Il m’est arrivé d’aller dans son université juste pour enquêter sur ses fréquentations.   J’ai même cherché à connaître sa petite amie. Mon fils trouvait finalement que je l’agaçais avec cette histoire » expliqua t- elle

De son côté, ‘’l’intime ami de mon époux, l’homosexuel, continuait de se rendre dans ma famille, malgré le fait que je ne cessais de le négliger et mon dégoût à son égard.’’

Ne supportant plus la présence de cet homme chez elle, M.T décide finalement de se rendre au domicile de l’homosexuel pour de bon. L’objectif était d’adresser un ultimatum sévère à ce dernier afin qu’il arrête de venir chez elle. « J’avais beaucoup de fois montré à mon mari que la présence de cet homme me mettait mal à l’aise, surtout à cause de notre enfant.

Mais j’étais loin d’imaginer ce que j’ai vu à mon arrivée chez son soi-disant ami. Personne ne m’ouvrit la porte quand je fus mon entrée chez lui. Alors j’ai décidé de rentrer puisque ce n’était pas verrouillée. A peine rentrée, je vois la scène désagréable qui se passait entre mon époux et son ami homosexuel. En plein ébat sexuel dans le canapé au salon, je suis restée sans mot…

Source: La Sirène