Depuis le début de la crise politico-institutionnelle que traverse le Mali, couronnée par le putsch du 18 août dernier, la CEDEAO a complètement ignoré les voisins de ce pays, dont l’Algérie qui, pourtant, parraine l’Accord de 2015 et suit son application sur le terrain à travers des mécanismes mis en place à cet effet. Un mépris et une indifférence fustigés par les plus hautes autorités algériennes, au premier rang desquelles se trouve le président Abdelmadjid Tebboune, qui n’a pas hésité à le faire savoir dans un entretien accordé à la presse locale, dimanche dernier.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant