On sait comment commence la guerre, mais jamais quand elle finit ». C’est une vérité de la Palice qui n’est pas assez méditée par les tenants du Nouvel Ordre Mondial , les Grandes Puissances occidentales. Ces adeptes impénitents de l’Impérator romain Jules César cultivent la guerre, en font même, les imprudents, un fonds de commerce pour expérimenter, vendre leurs armes de guerre et imposer l’idéologie de la démocratie, « le moins mauvais des systèmes de gouvernement » à leurs dires ! Ce choix impérialiste a provoqué un désordre mondial durable et périlleux entériné par l’ONU, véritable appendice de la nébuleuse de la Communauté Internationale, une mafia de haut vol qui, après avoir créé le terrorisme des Ben Laden, dicte sa loi, orchestre des massacres et génocides camouflés au nom du droit des peuples qui ne leur ont rien demandé.
C’est ainsi que notre planète terre est devenue un vaste champ géostratégique, et le Tiers-Monde le gibier et la poubelle de l’Occident. Notre infortuné pays n’y échappe pas qui est devenu un test grandeur nature en butte à toutes l’oppression de l’ordre mondial et ses suppôts. De cette guerre qu’on nous a imposée au nom de la paix et de la réconciliation nationale, il nous appartient de nous libérer. Car ceux qui on fomenté et développé le terrorisme chez nous, puis ont exigé le dialogue avec les forces du Mal, ne veulent pas que nous résolvions le problème à la malienne, par le dialogue, l’arme des forts, avec tous nos frères égarés, des « terroristes » fussent-ils. Parce qu’ils craignent la puissance du Verbe qui vient de Dieu. Nous sommes prêts à leur donner la rançon de leur guerre fabriquée et exportée chez nous. Qu’ils se décident pendant qu’il en est encore temps, avant que le glaive du Créateur de l’Univers ne s’abatte sur leurs pays et leurs nations, avant que les flammes de l’Enfer ne les engloutissent, à cause des cris déchirants de notre peuple que l’on sacrifie, des veuves et orphelins éperdus qui n’ont plus assez de larmes et de voix pour exprimer leurs souffrances infinies.
Oumar Coulibaly
Source: pays emergent