La nouvelle tutelle de Bougouni vient d’être épinglée par un rapport de l’ONU. Un agissement qui semble être un sabotage de la personne d’un membre intègre des Forces Armées Maliennes (FAMa) qui n’aura épargné aucun sacrifice pour la nation.
Moins d’une semaine après sa nomination, la polémique enfle autours du Général de Brigade Kéba Sangaré. Ce dernier est au centre d’une polémique suscitée par un rapport des Nations Unies qui l’accable. Selon ledit rapport, il serait l’auteur de «décisions contestables» ayant entraîné plusieurs mois de retard et «minant la confiance entre les parties» impliquées dans le processus de Désarmement, Démobilisation et Réintégration (DDR) des groupes armés au Mali.
Le nouveau Gouverneur de Bougouni qui est un Officier valeureux est dépeint commune un des obstacles à l’application de l’Accord de paix de 2015 et son inaction. Il est pourtant connu de tous que l’État a fini par se retrouver avec une pléiade d’interlocuteurs qui se sont avérés ne pas être les mieux indiqués.
Les bons offices alors conduits par le puissant Imam Mahmoud Dicko ont conduit au fait qu’il fallait aller au dialogue direct. Une évidence qui est prise en compte par les dirigeants de la Transition qui comptent bien prendre langue avec les leaders qui tirent les ficelles de la crise du Nord finalement étendue au Centre.
Connu pour sa rigueur et son engagement, au lendemain de la reconquête du Nord en les experts de l’ONU ont oublié que Kéba Sangaré a été Directeur général du Service National des Jeunes (SNJ). Une entité qui a repris depuis plus de deux (02) ans, après vingt-sept (27) ans d’arrêt où furent formés 6.325 jeunes en six (06) contingents.
L’ancien Chef (…)
BAMOÏSA
Source: NOUVEL HORIZON