Il est fréquent de voir au garabal de Faladié des jeunes se piqué avec des seringues au bras comme si on administrait un sérum à un patient. Interloqué par les faits nous avons mené des enquêtes.
Selon nos sources, cette seringue contient des contrepoisons, ce seraient des étudiants Maliens de retour de Tunisie, Algérie, Maroc qui l’ont mis au point à Bamako. À partir d’une haute technologie, ils fabriquent des médicaments antidote: Nouvelle piste de propagation de consommation d’une sorte de drogue. Plusieurs sources concordantes affirment qu’en dehors des études, ces jeunes s’adonnent à autres choses, du désir d’exploiter la technologie.
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à trois défis: la démographie et l’urbanisation galopante, la paupérisation de notre population, le chômage des jeunes, la force de notre jeunesse insolente et consommatrice.
Inter de Bamako