Cette année encore, au premier jour des épreuves de l’examen du DEF (Diplôme d’Etudes Fondamentales), session de juin 2017, des rumeurs de fuite de sujets ont circulé partout sur les réseaux sociaux. Vrai ou faux, en tout cas le poisson pourrit par la tête. Ils sont 258102 candidats repartis entre 1890 centres à prendre part à cette session.
Les autorités scolaires notamment, le cabinet, pour leur part affirment prendre toutes les dispositions nécessaires pour le bon déroulement des évaluations. A qui profite le sabotage de cet examen tant important pour les élèves ? De Ségou où il a donné le coup d’envoi des épreuves le ministre de l’Education nationale Mohamed AG Erlaf, s’est imprégné du déroulement de la session dans différents centres tout au long de l’autoroute qui mène jusqu’à Bamako. Empêchés par le système, des ennemis de la nation jurent de tout peindre en noir afin de contester les résultats.
Douglas Douyon
Par Aube d’Afrique