« Comme vous le savez, le scrutin, pour le référendum constitutionnel, est prévu la veille (18 juin 2023) du démarrage des épreuves écrites du Baccalauréat prévues le 19 juin 2023. Ces deux activités, d’une très grande importance pour notre pays, peuvent bien se dérouler sans que l’une n’empiète sur l’autre ». C’est en substance ce qui ressort d’une note de service émise par Kinane Ag GADEDA, Secrétaire Général du Ministère de l’Education Nationale, à l’intention Directrices et Directeurs des Académies d’Enseignement, pour « dispositions à prendre en lien avec les dates du référendum et du Baccalauréat ».
« Comme vous le savez, le scrutin, pour le référendum constitutionnel, est prévu la veille (18 juin 2023) du démarrage des épreuves écrites du Baccalauréat prévues le 19 juin 2023.
Ces deux activités, d’une très grande importance pour notre pays, peuvent bien se dérouler sans que l’une n’empiète sur l’autre », a-t-il indiqué d’entrée de jeu. Avant de les inviter « à prendre, en contact avec l’administration générale, les dispositions suivantes pour éviter tout désagrément dans l’organisation du Baccalauréat ».
Ce sont : épargner tous les centres d’examen du Baccalauréat dans les activités référendaires; retenir uniquement les écoles fondamentales comme sites des bureaux de vote; épargner tous les personnels engagés dans l’organisation du Baccalauréat ; disponibilité des surveillants suppléants au cas où des surveillants titulaires seront absents ; retenir essentiellement les enseignants du préscolaire, du fondamental 1 et 2 dans les activités référendaires; rendre disponibles et afficher les décisions des présidents et des surveillants de centres d’examen, au plus tard le mercredi 14 juin 2023; anticiper la tenue des réunions préparatoires, si possible le jeudi 15 juin 2023 ; communiquer largement sur la localisation des centres d’examen afin que les candidats puissent les identifier facilement; et rendre compte à la hiérarchie de toute situation pouvant compromettre la bonne tenue du Baccalauréat.
Le Secrétaire général du département de l’Education Nationale les a invités « à activer les cadres de concertation avec les associations des écoles privées au niveau local pour la mise à disposition de celles d’entre elles qui répondent aux normes afin d’y passer le Bac ».
Assane Koné
Source : Arc en Ciel