Après quelques mois de travail et d’observation, les experts du centre ont identifié des nombreux blocages : l’absentéisme, le manque de discipline, le retard dans le processus de DDR, la réintégration des anciens membres des forces armées et de sécurité. Des craintes réelles qui sont dommageables dans l’exécution des DDR.
Autre détail, l’observatoire a fait le tour chez tous les acteurs impliqués dans la crise.
Des indices et des inquiétudes à la conclusion de l’observatoire : la nécessité et l’obligation de faire la Réforme Constitutionnelle pour un aboutissement de l’accord pour la paix et de la réconciliation nationale.
Un élément essentiel dans cette observation, seulement 17% des engagements de la communauté internationale sont à niveau achevé et 66% sont au stade intermédiaire. Insignifiant ?
On peut constater que chez les parties maliennes, notamment des communautés au nord, la perception d’une contribution financière internationale est loin de combler les attentes.
Le centre Carter estime également dans son rapport que la Communauté Internationale a pris beaucoup de retard dans la mise en œuvre du processus.
DAK