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Election présidentielle malienne : « Ajouter une crise à la crise »

Va-t-on vers un report  l’élection présidentielle du 28 juillet prochain ? Aucun signal officiel dans ce sens. Mais des voix, pas les moindres, s’élèvent pour relever l’incompatibilité du délai avec les tâches à accomplir. Ce ne sont plus seulement les hommes politiques, qui depuis l’annonce de cette date avaient émis des réserves quand à la possibilité de tenir le délai (à l’époque, nous les avons traité « de jamais prêt », les responsables des organismes sous régionaux et internationaux, le président de la Commission nationale électorale indépendante ont aussi déclaré que le délai est intenable.

 

 

Certains diront même que si l’on veut faire de l’élection présidentielle une solution de sortie de crise, le report serait nécessaire. Il ne faut pas que l’exigence des partenaires internationaux notamment la France et les Nations Unies d’organiser les élections coûte que coûte soit une nouvelle crise qui s’ajoutera à celle que l’on veut résoudre.

 

 

A l’heure actuelle, le seul taux de distribution des cartes d’électeurs semble être le baromètre de la tenue ou de la non tenue de l’élection présidentielle. Là aussi, les décideurs ont seulement une petite semaine pour constater cela, c’est-à-dire, avant l’ouverture des campagnes électorales prévues le 7 juillet prochain.

 

 

TAUX DE PARTICIPATION AUX ELECTIONS AU MALI : 30 % ou 40 % ?

Il va falloir qu’on s’entende sur les chiffres. Chacun y va de ses statistiques. D’où est ce que les différends intervenants tirent leurs chiffres ? Nous n’en savons rien. Tantôt certains disent que le taux de participation aux élections au Mali « n’a jamais dépassé 30 % » quand d’autres soutiennent plutôt qu’il « n’a jamais dépassé 40 % » Quel est le bon chiffre ? C’est le département de l’administration territoriale qui pourra les départager.

 

 

Dans cette cacophonie de chiffre, ce qui est important, tous ont le souci du taux de participation aux élections au Mali, reconnu très bas. Pour en rajouter au débat des chiffres, nous dirons que ce fameux taux à même dépassé les 40 % une fois, mais au présidentielle. Attendons le bon chiffre.

 

 

 

OBAMA AU SENEGAL : « On n’est pas prêt à dépénaliser l’homosexualité », le président Macki Sall

Une réponse historique du président du Sénégal au président des Etats-Unis, Barack Obama, lors de son voyage au Sénégal. Si tous les chefs d’Etats africains pouvaient avoir ce courage de parler avec leur homologue de l’occident sans complaisance ni hypocrisie, l’Afrique sera respectée.

 

 

Sur des questions qui touchent le fondement de la vie de la nation, on ne doit pas tergiverser. Autant les occidentaux ne voudraient que l’on touche au fondement de leur culture (s’ils en ont mêmes) autant ils doivent respecter celle des autres. Leurs cultures, toutes leurs cultures ne peuvent s’universaliser.

 

 

Alors homosexuel du Sénégal, de l’Afrique, vous pouvez continuer à raser les mûrs ou émigrer vers ces 14 pays au monde qui plus que reconnaître l’homosexualité vous donne le droit de vous marier. Sinon, la victoire pour cette bataille en Afrique n’est pas pour demain.

 

 

Rassemblés par Drissa SANGARE

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