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Crise syrienne : « Le sort de Bachar Al-Assad est devenu un problème secondaire »

Né en 1952 dans une famille kurde de Damas, jadis membre du Parti communiste syrien, Qadri Jamil a été invité aux pourparlers sur la Syrie, qui se sont ouverts le 29 janvier à Genève, à titre de conseiller. Installé à Moscou depuis qu’il a été limogé de son poste de vice-premier ministre au sein du gouvernement syrien en octobre 2013, il fait partie des personnalités de l’opposition que la Russie a tenté d’imposer au sein d’une troisième délégation face au régime et au Haut Comité des négociations (HCN), l’organe représentatif de l’opposition politique et militaire, formé à Riyad en décembre 2015.

president syrien bachar el assad

La délégation du HCN est arrivée samedi à Genève. A quel titre participez-vous aux pourparlers sur la Syrie ?

C’est une bonne chose que le HCN vienne, il faut que tous se retrouvent autour de la table. Cela va créer les conditions du rapprochement de l’opposition. Neuf autres opposants et moi avons reçu une lettre individuelle d’invitation en tant que négociateur. Nous n’avons pas encore formé de délégation.

Les représentants du Parti de l’union démocratique (PYD, kurde syrien) n’ont finalement pas été invités ?

Le problème des kurdes est gelé. Les Russes et Américains nous ont promis qu’ils devraient être invités dans les prochains jours. Leur non-invitation s’est faite sous la pression des Turcs. Je ne comprends pas pourquoi la Turquie a le droit de s’ingérer dans les affaires syriennes.

Vous parlez de rapprochement de l’opposition. Pensez-vous pouvoir intégrer…

Source: lemonde.fr

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