L’insécurité devient un véritable problème contre lequel les autorités s’activent pour le bien-être des populations. Les quartiers périphériques de Bamako sont devenus le point de chute des malfrats de tout acabit. Face à ce danger qui perturbe la quiétude des honnêtes citoyens, le commissaire principal a donné des instructions fermes à ses éléments notamment ceux de la brigade de recherche sous la houlette de l’inspecteur Fousseyni Tangara, alias «Japon».
C’est ainsi que dans la nuit du 23 au 24 Octobre 2017, ces éléments de la brigade de recherche du 6ème Arrondissement ont procédé à l’interpellation d’un individu à Sikoroni. Il s’agit de Moussa B. Diallo né le 29 juillet 1984 à Bamako de feu Oumar et de Kadiatou Doumbia, soudeur domicilié à Bankoni-Sourakabougou.
L’intéressé était en possession d’une arme de fabrication artisanale et menaçait de mort un individu tentant de le déposséder de ses biens. Au même moment surgit l’équipe de patrouille des éléments du commissaire principal Tapa Diallo. Pris la main dans le sac, le malfrat a aussitôt été mis hors d’état de nuire et conduit au commissariat. Une enquête a été ouverte aux fins d’en savoir plus.
Par ailleurs, dans le cadre de l’application du plan de sécurisation des établissements scolaires de la commune I, plan adroitement dressé par le commissaire principal Tapa Diallo en charge du 6ème Arrondissement, ses agents ont été informé de la présence d’ individus, installés à côtés et sur les murs de clôture du lycée Fily Dabo Sissoko de Djélibougou et qui se livreraient à la consommation de stupéfiants et s’adonneraient à des tapages outrageux empêchant ainsi le déroulement normal des cours.
Aussitôt, une équipe d’intervention s’est immédiatement transportée sur les lieux et a procédé à l’interpellation de 5 (cinq) jeunes visiblement surexcités dont l’âge est compris entre 17et 21 ans. Ils étaient en possession d’une quantité énorme des boules de chanvre indien que les agents ont naturellement saisies. Ils ont ensuite été conduits au commissariat où ils ont été placés en garde-à-vue. Le dossier ayant été déféré devant le parquet, les infortunés ont placés sous mandat de dépôt et cogitent présentement dans les geôles en attendant leur jugement.
La Sentinelle