Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne

CMDT : un Pdg budgétivore

La Compagnie malienne pour le développement du textile a un Pdg qui fait ce qui lui passe par la tête. Il a la gâchette facile quand il s’agit de faire sortir de l’argent. Il hérite d’une caisse bien remplie de 27 milliards de Fcfa. Selon certains travailleurs de la direction générale de la Cmdt, ils n’ont jamais vu un directeur dépenser autant comme Modibo Koné.

CMDTcompagnie malienne du developpement textile coton engran agriculteur

Banquier de son état, c’est ce qui étonne ! Mais, nommé à un poste politique, il sait ce qu’il doit faire ; le reste, il s’en moque. Il est 10 fois plus budgétivore que tous les anciens réunis. Et très souvent, ce sont des dépenses inutiles : changer des mobiliers de bureau à des centaines de millions ; refaire des bureaux, ou encore acheter du matériel pour le confort de certaines personnes nommées récemment par lui-même.

Les gens commencent à avoir des inquiétudes, car c’est le superflu qui préoccupe le Pdg. Au détriment des questions de renouvellement de machines, la mise à état des outils et autres intrants. Toutes les questions techniques par rapport aux champs de coton sont reléguées au second plan. C’est ce qui inquiète les travailleurs de la direction générale de la Cmdt.

Des excréments

Depuis la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale, le 15 mai 2015, et son parachèvement le 20 juin 2015, des actes concrets ont été posés dans la région de Tombouctou. La délégation de la Cma de Tombouctou, dès son retour, a rencontré le gouverneur de la région, pour marquer sa disponibilité aux autorités locales.

Cela a été illustré par la libération de certains prisonniers de la Cma à Ber. La même dynamique continue dans la région de Tombouctou avec la concrétisation du Moc (Mécanisme opérationnel de coordination). Le bureau régional a reçu son premier véhicule pick-up dans le cadre de la sécurisation des personnes et des biens.

La remise a eu lieu en marge d’une rencontre avec les autorités locales et administratives. Selon les responsables du mouvement, des difficultés ralentissent les activités, mais l’espoir est permis avec le début prochain des patrouilles mixtes. Le Moc envisage 600 combattants par région pour les besoins des patrouilles. Dans la même perspective, une délégation des Fama conduite par le Colonel Sangaré s’est rendue à  Doukouria (Goundam), pour présenter ses excuses et ses condoléances aux populations de Tinguereguef.

Ça, c’est une première dans l’histoire de cette crise. Dans la même foulée, un habitant de Gossi avait alerté les autorités comme quoi des individus avaient enterré une mine près de la mosquée de l’ancien marché à bétail. Ayant bloqué la circulation et encerclé les lieux, l’armée et la Minusma sont intervenues. Mais quelle ne fut leur surprise ! Il n’y avait rien que les excréments de quelqu’un qui était venu se soulager. Comme quoi, il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit.

De nouvelles règles

Depuis un certain moment, certains pays européens ont exprimé leur souhait de voir les règles du football changer afin de s’adapter à la modernité. Mais aussi de sortir de son carcan une discipline sportive inchangée. Plusieurs fois, les tentatives ont échoué, mais actuellement avec la nouvelle équipe de la FIFA, les choses semblent bouger. C’est ce que nous avons relevé dans un document sur le site de la FIFA. Les nouvelles règles d’arbitrage qui sont applicables à partir de l’adoption du document.

C’est la fin de la triple peine : la faute du dernier défenseur dans la surface de réparation n’entraîne plus un penalty, un carton rouge et une suspension ; maintenant, c’est un carton jaune et non rouge. Le penalty est toujours accordé et sans suspension. L’ancienne sanction est applicable dans les cas de violence extrême. Fin de la paradinha : le temps d’arrêt que certains joueurs prennent avant de tirer un penalty n’est plus autorisé. La course d’élan pour tirer le penalty doit être ininterrompue au risque de recevoir un carton jaune.

Un 4e changement : dans le cas des prolongations un 4e changement est autorisé. D’autres innovations sont demandées, mais les experts de la FIFA réfléchissent sur ces innovations, dont la plus attendue est l’introduction d’une caméra pour trancher certaines décisions, qui échappent aux arbitres. Mais surtout des actions qui se passent en fractions de secondes.

Source: Le Reporter

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne
Ecoutez les radios du Mali sur vos mobiles et tablettes
ORTM en direct Finance