Les lampions se sont éteints sur la quatrième édition du camp de Basketball de Bamako le Mercredi 22 juillet 2015 au palais des sports de Bamako. L’initiateur Tidainé Dramé, un fervent supporteur de la balle au panier, a distribué des matériels de travail aux entraîneurs et joueurs afin de permettre au Basketball malien de scintiller de plus belle sur le firmament africain et mondial.
Fervent supporteur du Basketball malien vivant aux USA, Tidiane Dramé dont le seul leitmotiv est de faire du Mali une référence du Basketball en Afrique et dans le monde à initier ce camp de Basketball afin de renforcer les capacités des coachs et joueurs maliens. Venu des USA avec dans sa besace des entraîneurs de Basketball du pays de l’Oncle Sam qui ont permis aux entraîneurs de basketball qui ont eu l’occasion de participer au camp de parfaire leur niveau sur les nouvelles techniques de la balle au panier et avec des multitudes et de repartir avec des matériels sophistiqués. Cette quatrième édition du camp de Basketball a été une véritable aubaine pour le basketball malien, a affirmé le président de la ligue de Basketball du district de Bamako Serigne Thiam. De telles initiatives venant d’un compatriote sont à encourager et permettront au Basketball malien d’aller à la conquête des plus prestigieux trophées qui sont aux abonnés absents dans nos vitrines. Tidiane Dramé, l’initiateur du camp, a noté que la formation à la base est le meilleur remède permettant d’obtenir des résultats éloquents et convaincants raison pour laquelle j’ai opté d’apporter ma petite contribution au développement du basketball malien via ce camp. Un camp au cours duquel 7 coachs chevronnés encadreront les entraineurs et jeunes maliens, tout en les inculquant les meilleures techniques, ajoute-t-il. Signalons que le camp a regroupé 50 jeunes dont les deux meilleures poursuivront leurs études aux Etats-Unis tout en continuant la pratique du Basketball. Les 38 coachs maliens ont tous reçu des matériels de travail d’une valeur de 7 millions de FCFA.
Moussa Samba Diallo
source : Le Républicain