Au 1er plan du fait de son statut de 1er ministre, Moussa Mara a eu fort à faire. En effet , le terme AZAWAD était au cœur des débats de la commission qu’il avait en commun avec la célèbre élue de Bourem. Vu les contradictions ça et là , il a exigé à ce que les interventions ne dépassent pas deux minutes.
Le second PM du pouvoir a indiqué qu’il fallait se focaliser sur l’avenir sans trop tergiverser sur le au passé. Des propos qui n’ont pas été de l’Honorable Chato. La parlementaire a fait
savoir que pour trouver une solution à la crise, il faut revenir en arrière.
Autrement dit la députée Aissata Cissé Haidara a maintenu que toutes les atrocités et violations des droits de l’homme ne doivent être occultées . L’accrochage verbal a conduit à la suspension des travaux un long moment avant de concilier les positions.
Au 1er plan du fait de son statut de 1er ministre, Moussa Mara a eu fort à faire. En effet , le terme AZAWAD était au cœur des débats de la commission qu’il avait en commun avec la célèbre élue de Bourem. Vu les contradictions ça et là , il a exigé à ce que les interventions ne dépassent pas deux minutes.
Le second PM du pouvoir a indiqué qu’il fallait se focaliser sur l’avenir sans trop tergiverser sur le au passé. Des propos qui n’ont pas été de l’Honorable Chato. La parlementaire a fait
savoir que pour trouver une solution à la crise, il faut revenir en arrière.
Autrement dit la députée Aissata Cissé Haidara a maintenu que toutes les atrocités et violations des droits de l’homme ne doivent être occultées . L’accrochage verbal a conduit à la suspension des travaux un long moment avant de concilier les positions.
Au 1er plan du fait de son statut de 1er ministre, Moussa Mara a eu fort à faire. En effet , le terme AZAWAD était au cœur des débats de la commission qu’il avait en commun avec la célèbre élue de Bourem. Vu les contradictions ça et là , il a exigé à ce que les interventions ne dépassent pas deux minutes.
Le second PM du pouvoir a indiqué qu’il fallait se focaliser sur l’avenir sans trop tergiverser sur le au passé. Des propos qui n’ont pas été de l’Honorable Chato. La parlementaire a fait
savoir que pour trouver une solution à la crise, il faut revenir en arrière.
Autrement dit la députée Aissata Cissé Haidara a maintenu que toutes les atrocités et violations des droits de l’homme ne doivent être occultées . L’accrochage verbal a conduit à la suspension des travaux un long moment avant de concilier les positions.
Source: Maliactu.info