De nos jours, dans la capitale malienne et pendant l’approche des fêtes de fin d’année, nos policiers procèdent à des contrôles pas cohérents et qui n’est pas non plus une routine plutôt des contrôles de raquette d’argent à des simples usagers à deux roues.

Le contrôle est vital pour la sécurité des propriétaires des engins à deux roues et aussi c’est important pour le bon déroulement et du maintien de la circulation routière. Mais on assiste à des contrôles qui perturbent la circulation des usagers et qui peuvent provoquer des accidents qu’on peut éviter.

Avant, considérer comme un pilier de la bonne conduite de la circulation routière ou qui maintient de l’ordre sur la route tel n’et plus le cas car ; pendant quelques temps sur le pont chino-malien ou le 3ème pont ses policiers de la compagnie de la circulation routier (CCR) montent sur le passage des motocycles afin de les arrêter et procéder à des vérifications des vignettes qui est plutôt synonyme à des raquettes d’argent. Pour eux ça ne leur dit rien car ils se disent faire leur travail ; pour un bon contrôleur leurs manières de procéder n’est pas la bonne car ceux-ci conduit à un accident. C’est-à-dire sur cette voie, les motocyclistes se suivent et quand on arrête un brusquement il peut avoir des accrochages.
Et quand l’usager n’a pas sa vignette, l’agent de contrôle met la moto du motocycle à côté qui à son tour descend et le revoie (le policier) a coté afin de discuter le peu d’argent que l’agent demande. Qui comprend entre 500 et 1 000 FCFA ou bien moins que sa selon aussi le fond de l’usager pour ne pas partir à pied.
Dans notre pays, la corruption de la police nationale à atteint un seuil inquiétant si bien que la population ne sens plus confiant face a ses porteur d’uniforme, que sa soit dans les commissariats ou des postes de contrôle, ou sur la circulation ; les gestes de corruption ne choque plus. Afin pendant le train-train quotidien des usagers ; les policiers procèdent ainsi sur les différents axes de la route, c’est-à-dire même les transports en commun ne sont pas aussi épargnés.
Et dans un pays en voie de développement comme le nôtre et qui veut bannir toute forme de corruption doit revoir tout d’abord ses agents de sécurité puis finir par la population afin qu’on ai une ville apaisée.
Aïchatou Konaré

Source: lesechos