Les services de renseignements français ont la quasi-certitude que Bamako négocie depuis un certain temps avec Iyad Ag Ghali par le canal d’un élu de Kidal et d’un chef religieux très proche de l’ennemi public N° 1. Au grand dam des Français et des Américains pour qui il n’est pas question de parler avec un homme aux mains remplies de sang.
Il n’est pas exclu que lors de son passage à Bamako pour le sommet du G 5, Macron se décide finalement de retirer ses soldats du sol malien à cause justement de cette cachotterie de Ladji Bourama qui, in fine, fait sienne la proposition de l’opposant Tiébilé Dramé qui avait demandé d’appeler Iyad à la table de négociation. . Et la dernière sortie d’Idriss Déby qui menace lui-aussi de retirer ses troupes n’augure rien de bon pour notre pays incapable aujourd’hui d’assurer sa propre sécurité.
« On ne me trimbale pas », « On ne me traînera pas dans la boue », « je ne négocierai pas avec les gens qui ont la main souillée de sang malien », « Le Mali d’abord » Décidemment « Le Kankélétigui » est devenu « Kantiamatigui »
La devise du Mali de Ladji Bourama est devenue : vingt peuples, vingt buts, une foi…re » Qui l’eût cru ?
Source: lesphinxmali