Cette question fera rire plus d’une personne mais mérite d’être posée. En effet, sur le caveau de ce dernier, il est marqué 15 juin 1915. Alors que l’on nous parle de la date officielle qui est le 4 juin 1915.

 

S’il est vrai que la date officielle dans nos archives est le 4 juin, alors il urge pour sa famille biologique et politique de vite rectifier le tir. En allant corriger cette erreur qui n’est pas de nature à faire taire la polémique.

L’humilité d’un homme de gloire                                                                                               

Lors de la conférence de presse pour annoncer les festivités commémoratives du centenaire du président Modibo Kéita, le doyen Seydou Badian Kouyaté a su trouver les mots juste pour répondre à la question du président du Parena, Tiébilé Dramé. Selon lui, l’hymne national du Mali fut élaboré par un collectif présidé par lui-même en 1961. « Au temps de l’Union Soudanaise, c’était nous, l’individu n’était rien », a dit le conférencier Seydou Badian.  Même si dans ses dires, il est l’auteur principal de la composition de l’Hymne national, le doyen a voulu interpeller de façon indirecte les nouveaux acteurs de la politique malienne à adopter le comportement de groupe plutôt que celui de leur intérêt personnel. La nation en a vraiment besoin et nous disons chapeau au doyen Seydou Badian pour cette leçon d’humilité envers la jeune génération.

Concurrence entre opérateurs téléphoniques:

Pas de chance pour la 3ème Licence au Mali !

Les deux opérateurs téléphoniques traditionnels du Mali, Orange Mali et Malitel inondent le marché malien avec des offres promotionnelles. Après avoir couvert la quasi-totalité du Mali, les clients sont «gâtés» par les promotions en tout genre. En plus de bonus 100 ou 200%, les offres promotionnelles couvrent aussi les cartes SIM, appareils électroniques et la connexion internet à tels enseigne que les observateurs du secteur sont pessimistes quant à la réussite de la 3ème société de la téléphonie globales (Atel) d’Apollinaire Compaoré. Surtout que cette dernière, malgré l’adjudication frauduleuse de la licence, Atel peine à rendre opérationnel sa licence qui expire en février 2016. Déjà compliqué pour ladite société de s’installer, affirme un expert des  télécom, si par miracle elle y parvenait, elle atterrira sur le marché très affaibli. En claire, elle n’aura aucune chance sur ce terrain dominé par les opérateurs plus sérieux

La Rédaction

source :  Le Prétoire