L’armée nigériane s’apprête à transférer 300 des personnes récemment libérées des camps de Boko Haram à l’Agence nationale des secours d’urgence.
Ces personnes seront placées dans des camps à Yola dans l’Etat d’Adamawa pour subir des contrôles médicaux les aidant à surmonter le traumatisme, avant d’être rendues à leurs familles.
L’armée n’a pas révélé leurs identités.
La plupart des anciens otages sont endoctrinés et traumatisés, selon un chef de communauté. Un important soutien psychologique et social serait nécessaire pour les aider à se réinsérer dans la société.
Près d’un camp de Boko Haram, un groupe de femmes a notamment tiré sur des soldats.
Les lycéennes enlevées à Chibok en avril 2014, rendues célèbres par la campagne #BringBackOurGirls, ne figuraient pas parmi les otages libérés.
source : BBC