Une atrocité révélée sur Blaise Compaoré par sa fille : «Mon père buvait du sang…». Maeva Compaoré se confie à une amie (entretien issu d’écoutes) : «Mon père est un vrai buveur de sang. Je sais par expérience que mon père avait tué des enfants au cours de rituels. J’ai été témoin de l’un d’eux. Mon père est un adepte de satan.
À un moment donné, mon papa est devenu accro au sang humain ; il croyait qu’en buvant du sang, il gagnerait en longévité et en énergie. Il apprécie tout particulièrement le sang des petits enfants et des albinos.
Il croyait que la force vitale était contenue dans le sang et que celui des enfants en bas âge apportait encore plus de force vitale. Il les torturait alors qu’ils agonisaient et les terrorisait, car il croyait que la force vitale serait ainsi décuplée. Quand j’avais 5 ans, il m’a fait taillader les veines du cou d’un bébé. On avait fait couler le sang dans un calice.
Puis nous, mon père, ma mère, moi, avons bu à tour de rôle le sang ainsi récolté. J’ai besoin d’aide car je suis aussi devenue accro. Quand je vais dans la rue, je regarde les cous et les nuques des gens et je me dis que la tentation de ce garde-manger est irrésistible. Nous sommes nombreux au Burkina, en Afrique, le peuple était notre garde-manger.»
Première visite de Mandela
À sa sortie de prison, en juillet 1991, Nelson Mandela s’est rendu à Cuba, afin de remercier son ami Fidel Castro pour son soutien militaire à la lutte contre l’apartheid.
Cuba a été l’une des premières nations à apporter son aide à l’ANC. À ce propos, Nelson Mandela soulignera : «Je dois dire que quand nous avons voulu prendre les armes, nous nous sommes approchés de nombreux gouvernements occidentaux à la recherche d’aide, et nous avons seulement obtenu des audiences avec des ministres de rang subalterne.
Quand nous avons rendu visite à Cuba, nous avons été reçus par les plus hauts fonctionnaires, lesquels nous ont immédiatement offert tout ce que nous souhaitions et tout ce dont nous avions besoin. Ce fut notre première expérience avec l’internationalisme de Cuba.»
Salise 2016, le désintérêt des Ségouviens
Le festival du livre à Ségou suscite un désintérêt chez les Ségoviens. Cette situation s’explique par le comportement de son fondateur et organisateur, Monsieur Makalou. À chaque édition, il se fait entourer par de nouveaux collaborateurs. Makalou semble être un mauvais payeur. Et pour ne pas payer les anciens prestataires, il change de collaborateurs à chaque fois. Les Ségoviens l’ayant compris boudent tout simplement les activités du salon du livre.
Insécurité
«La sécurité est renforcée à Bamako. Des policiers avec des pick-up flambant neufs postés au niveau de certains carrefours stratégiques de la ville (‘prêts à agir en cas de pépin’), des rafles au quotidien ; des commerçants dégagés des trottoirs, des routes colmatées, le CICB, l’aéroport, et certains hôtels en pleine restauration, bref Bamako s’apprête à abriter le prochain sommet de la “FrAfrique”, j’allais dire le défilé de Bamako.
Ça va vite dèh, course contre la montre ! Papa F. Hollande «le Roi des Rois, sa majesté» et ses hôtes arrivent !!!Hey Soubahanallahi ! Il nous fallait attendre la grande France pour prendre soin de nous-mêmes, de nos infrastructures, de notre environnement, de notre sécurité, etc. Et après le sommet, pardon le défilé ?
Par ailleurs, notre capitale reste encore très sale, des déchets plastiques jonchent les routes, des animaux en divagation dans les rues de presque tous les quartiers, des camions bennes et autres engins lourds stationnés sur les trottoirs, des chargements de gravier et de sable déchargés çà et là, des vendeurs ambulants, enfants de la rue et mendiants déambulent au niveau de tous les grands carrefours, un chaos indescriptible.
Source: Le Reporter