En première ligne après l’attaque jihadiste qui a endeuillé la ville de Sévaré le 22 avril, l’hôpital Sominé Dolo n’a pas les moyens de faire face. « La situation est grave », résume en un tweet un médecin urgentiste, déplorant un déficit de personnel, de lits, de compresses et surtout, « un énorme manque de poches de sang ».