Soumaïla Bagnini Traoré, conseiller technique chargé du Dialogue politique inclusif au ministère des Réformes institutionnelles et des Relations avec la société civile, non moins Coordinateur général de l’atelier de réflexion sur la contribution de la société civile au dialogue politique inclusif, a présidé la réunion préparatoire du grand rendez-vous entre Maliens. L’objectif de cette rencontre consistait à élaborer des termes de référence afin de dégager les itinéraires de l’atelier national prévu les 7 et 8 septembre, à l’unanimité de toutes les couches. C’était le mardi 03 août dernier dans l’enceinte dudit ministère.
Cet atelier intervient dans le cadre de la consultation nationale que le ministre Amadou Thiam a engagé avec son personnel depuis l’entame de sa mission. Il s’agit de travailler sur la participation effective et efficiente de la société civile malienne au processus du Dialogue politique inclusif. Soumaïla Bagnini Traoré, conseiller technique, chargé du Dialogue politique inclusif du ministère des Réformes institutionnelles et des Relations avec la société civile non moins Coordinateur général de l’atelier de réflexion sur la contribution de la société civile au Dialogue politique inclusif, a rappelé le chemin parcouru depuis le lancement de l’initiative présidentielle. Le dialogue, dit-il, a été initié, le Triumvirat est installé dans ses fonctions tout comme le président du Comité préparatoire.
A l’en croire, il a été demandé particulièrement à leur département de travailler à la participation de la société civile dans le programme d’action gouvernementale. « Pour mieux réaliser ce mandat, nous avons démarré cette consultation et aujourd’hui l’apothéose de la consultation nationale est cet atelier national qui va se tenir les 07 et 08 septembre 2019 au CICB», a-t-il rappelé.
La présente rencontre a regroupé les représentants des organisations et associations de la société civile ‘’parce que quand nous avons voulu mettre en place le dispositif organisationnel, un comité d’organisation a été mie en place, sept sous-commissions de travail et le ministre même assure la présidence de la commission.’’
Toujours selon lui, sa hiérarchie, à savoir « le secrétariat général, le chef de cabinet qui assurent la supervision et moi-même, j’ai été choisi comme coordinateur secrétaire permanant de l’atelier. Donc nous avons dit qu’il fallait tout faire dès le début que la société civile puisse participer et nous avons d’abord invité toute la société civile sans exclusion à venir ici notamment les représentants des différentes faitières, des associations spécifiques, des associations nationales qui sont venues et qui ont mis en place des groupes de travail. La société civile elle-même s’est réunie dans cette salle pour rédiger les termes de référence et ils sont venus une semaine après pour valider ces termes de référence qui ont fait l’unanimité de tout le monde », a –t-il conclu.
Bourama Camara
Source : Le Challenger