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Assimi Goïta, président de la transition

Organisée sur l’étendue du territoire national, la marche du vendredi dernier, pour soutenir les autorités de la Transition, d’une part, et d’autre part, dénoncer les sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA soutenues par la France contre le Mali, a montré à la face du monde la détermination du peuple malien à arracher sa souveraineté aux mains de la France.

Selon certaines statistiques, c’est une marche à l’échelle nationale. Pour la seule capitale, Bamako, on a enregistré 2.500.000 manifestants dans les rues de la capitale. S’y ajoute plusieurs centaines de milliers de manifestants dans les régions.
L’autre objectif de cette manifestation est de monter à la face du monde le refus du peule malien d’organiser l’élection présidentielle dans un pays en proie au terrorisme. Mais aussi, à l’occupation du pays par les djihadistes crées de toute pièce par la France.
Les manifestants scandent des slogans hostiles à la France. Aussi, ils soutiennent que le président de la Transition reste en place. Du moins jusqu’à la refondation complète des institutions du pays.

Mohamed El Heîba /Canarddechaine.com

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