L’honorable Issaka Sidibé, président de l’Assemblée nationale du Mali et son beau-fils, l’honorable Karim Kéita, fils du président de la République et non moins président de la Commission défense et sécurité de l’Assemblée nationale, sont, depuis samedi dernier, en terre new-yorkaise.
Les motifs de ce voyage sont privés. Et contrairement à ce qui est raconté par certaine presse, ce voyage n’est pas financé par les caisses l’Etat encore moins de l’Assemblée nationale. Selon nos sources très proches du parlement et dignes de foi, cette visite du président de l’Assemblée nationale à New-York est organisée et entièrement prise en charge par l’honorable Karim Kéita.
La même source indique que l’honorable Karim Kéita et l’honorable Issaka Sidibé entendent mettre à profit ce voyage, loin des radars politiques et des ‘’scribouillards’’ pour parler de famille. Il nous est revenu que le président de la deuxième institution de la République entend, au cours de ce voyage privé d’une semaine, rendre visite à une partie de sa famille qui se trouve à New-York. Il est également question de santé au cours de ce voyage. L’honorable Sidibé, indique notre source, profitera de sa visite new-yorkaise pour rencontrer un médecin dentiste.
Le moins que l’on puisse dire c’est que ce voyage privé du président de l’Assemblée nationale, financé par son beau-fils, vient de couper court à certaines rumeurs qui avaient presque gagné le terrain politique. Des folles rumeurs orchestrées par des hommes politiques ont laissé croire ces derniers temps que rien n’allait plus entre les deux hommes (Issaka Sidibé et Karim Kéita) et que le divorce était en passe d’être consommé entre Karim et son épouse, c’est-à-dire la fille de l’honorable Issaka Sidibé.
«Il n’y a jamais eu de problèmes entre les deux personnalités qui se respectent mutuellement comme il se doit, entre beaux-parents ; et il n’a jamais été question de divorce entre Karim et son épouse. Même si des fois, leurs opinions divergent sur le terrain politique, il n y a pas faille dans leurs rapports familiaux», nous a confié un cadre de l’Assemblée nationale très proche de la famille.
La rédaction
