Suite au » coup de force » perpétré, le lundi 24 mai dernier, par les membres de l’ex-CNSP contre des institutions de la Transition, avec l’arrestation du président Bah N’Daw et de son Premier ministre, Moctar Ouane, des leaders de la classe politique, de la Société civile ainsi que de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) dénoncent » toute détention arbitraire, à Kati ou ailleurs » et exigent » la libération immédiate et sans conditions de toutes les personnes arrêtées « .
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Source: l’Indépendant