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Ampoule, bas nylon, imprimante : ces objets désignés coupables d’obsolescence

Quelques produits emblématiques alimentent depuis des décennies la question de l’obsolescence programmée, contre laquelle les députés entendent agir.

courant ampoule lumiere

Les fabricants prévoient-ils la fin de vie des produits afin d’en vendre davantage? La question reste un sujet de polémique. Vendredi, les députés ont décidé de prendre en compte ce phénomène en prévoyant d’assimiler l’obsolescence programmée à de la tromperie, un délit passible de prison. Avérée ou pas, les exemples de produits à la durée de vie prétendument raccourcie censés illustrés cette pratique ne manquent pas, sans que la réalité de cette pratique économique ne puisse généralement être démontrée.

L’histoire du bas nylon reste l’un des emblèmes de l’obsolescence programmée. Cet accessoires vestimentaires est réputé pour avoir été particulièrement solide et résistant dans les années 1940. La firme américaine Dupont de Nemours avait alors choisi d’utiliser le nylon synthétique pour remplacer la soie. Les bas auraient alors été tellement résistants qu’ils auraient plombé les ventes du fabricant. Ce dernier aurait, par la suite, décidé de rendre ses créations plus fragiles afin de pousser à les remplacer. La critique n’a rien de neuf, comme le souligne Paris Match :elle s’élevait déjà dès les années 1950 dans le magazine Good Housekeeping ,dans lequel la fragilité de ces nouveaux bas était expliquée par un intérêt nouveau pour les mailles beaucoup plus fines.

L’argument de la contrainte technique

Autre symbole centenaire de l’obsolescence, l’ampoule de la caserne de pompiers de Livermore, en Californie. Le bulbe lumineux, installé en 1901 dans le bâtiment, fonctionne toujours plus d’un siècle après. Sa (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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