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Alliance Cdr-Urd : Pour restaurer l’espoir des Maliens, « Soumaïlafo Koulouba » !

A quelques jours de l’ouverture de la campagne pour les élections présidentielles du 29 juillet prochain, le candidat du parti Union pour la République et la Démocratie (URD), Soumaïla Cissé, vient d’avoir une alliance de taille. Le Collectif pour la Défense de la République (CDR) du célèbre activiste-chroniqueur Mohamed Youssouf Bathily alias Ras Bath lui a, suite à un long processus, affirmé son soutien le jeudi 28 juin dernier au Carrefour des Jeunes. Cette union travaillera d’arrache-pied pour offrir une victoire éclatante à Soumaila Cissé. Un candidat qui, de l’avis de plusieurs observateurs, est le meilleur pour restaurer l’espoir et sortir le pays du gouffre.  

Parmi les différents candidats à la présidentielle du 29 juillet prochain, qui n’aimeraient pas avoir le soutien du CDR du populaire chroniqueur Ras Bath. Personne, chacun des candidats voulait le ralliement de ce collectif. Finalement, c’est le candidat Soumaila Cissé de l’URD qui est sorti victorieux.

Cependant, le soutien du CDR à Soumaïla Cissé n’est point le fruit d’un hasard ou d’une sympathie comme les clubs de soutien. Ils s’unissent par un pacte, sur la base du manifeste qui est le projet de société élaboré par le CDR. Ainsi, le CDR avait adressé ce manifeste à tous les candidats déclarés sauf « Boua », c’est-à-dire l’actuel président de la République, IBK, comme le demande une résolution des assises du CDR tenues les 24 et 25 mars de cette année.

Il faut souligner que 8 candidats ont répondu favorablement : Moussa Mara de Yelema mais qui a désisté après, ChoguelKokalaMaïga du MPR, Modibo Sidibé des FARE, Cheick Modibo Diarra du RpDM, Aliou Boubacar Diallo de ADP-Maliba, Soumaïla Cissé de l’URD, HousséiniAmionGuindo de CODEM et Mohamed Ali Bathily des APM. Une commission du CDR, constituée à cet effet, est entrée en négociation avec chacun des candidats. Les négociations se faisaient sur trois critères principalement : l’adhésion du candidat à la vision du CDR, l’aptitude du candidat à concrétiser le programme et disposer de moyens lui permettant de battre campagne sur l’ensemble du territoire et d’un appareil politique qui entoure le candidat. Au cours des pourparlers, les négociateurs du CDR étaient munis d’un guide appelé dotation. Ce document contient trois colonnes : Accord, Convergence, Désaccord.

A l’issue des négociations avec tous les candidats intéressés, Soumaïla Cissé, l’a remporté car sur 147 points du manifeste du CDR, le parti URD a donné son accord sur 23 points, la convergence fut 119 points et le désaccord 4 points seulement. Quant aux critères, le porte-parole du CDR a précisé que le candidat Soumi y répond mieux que tous les autres candidats. Non seulement Soumi a adhéré à la vision du CDR, mais également il a les capacités intellectuelles, morales de réaliser la vision du CDR et jouit de ses droits civiques. De plus, son parti est représenté sur toute l’étendue du territoire, comme l’attestent les résultats des élections communales du 20 novembre 2016.

Une union pour battre IBK et restaurer l’espoir

Avec le CDR, il ne s’agit pas seulement de sceller un soutien sur papier et croiser les bras. Mais le CDR qui s’engage à soutenir Soumi, sera dans toutes les équipes de campagne de l’URD pour travailler ensemble en vue de battre leur adversaire commun, le président sortant, IBK.

Main dans la main, le CDR et URD travailleront pour offrir une victoire nette et sans bavure à l’Honorable Soumaila Cissé. Un candidat qui, pour plusieurs observateurs, est le meilleur pour restaurer l’espoir. Pour ses plus proches collaborateurs, l’homme est honnête, assidu et travailleur. Toute chose qui fait de lui un crédible candidat. Depuis la France où il a débuté sa carrière, après de brillantes études, jusqu’au Mali et ensuite à la présidence de la Commission de l’Union monétaire ouest africaine (UEMOA), jamais le nom de SoumailaCisse n’a été cité dans un dossier quelconque de mauvaise gestion ou de détournement au niveau d’un service de contrôle. C’est une fierté pour le Mali qu’un de ses enfants ait occupé ce poste stratégique et hautement important pour huit (8) pays de l’Afrique de l’Ouest pendant deux (2) mandats successifs, sans aucun problème et à la clef avec des résultats tangibles.

Tout cela prouve son honnêteté, sa crédibilité et son respect du bien public. La volonté politique et la capacité intellectuelle et physique de Soumi font de lui un candidat qui peut résoudre des problèmes du plus grand nombre de citoyens. Pour Soumi, la paix et la sécurisation des régions nord et centre seront accompagnées par un programme de développement socioéconomique durable de ces régions. Pétri d’expérience pour avoir été ministre des Finances entre 1993 et 2000, puis de l’Équipement entre 2000 et 2002, et pour avoir présidé la commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine de 2004 à 2011, Soumaila Cissé a le bagage intellectuel et la capacité de diriger le bateau Mali. Aurait-il la confiance des Maliens ?  Attendons de voir.

Vu la gestion catastrophique du premier quinquennat d’IBK qui a été une grande déception, Soumaïla Cissé a une très grande chance d’être élu président de la République en 2018. Surtout que de l’avis de plusieurs observateurs, la prochaine présidentielle sera le moment de la relance économique.  En tant qu’économiste chevronné, Soumi serait-il l’homme de la situation ? En tout cas, bénéficiant de nombreux soutiens, l’enfant de Niafounké n’a jamais été aussi proche du fauteuil de président de la République.

La Rédaction

 

Source: Le Démocrate

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