Si la Transition fait le point sur les acquis miliaires du Mali, il n’en demeure pas moins que l’Accord d’Alger reste complexe. Le chef djihadiste, toujours libre de ses mouvements, n’a pas encore pris langue avec les autorités actuelles. Pourtant, ses agissements continuent de créer de sérieux préjudices au processus de pacification du Mali.
L’ombre d’Iyad Ag Ghali continue de planer malgré que l’espoir soit permis. Ceux qui le croyaient « fini » ont déchanté voyant qu’il était au cœur de l’enlèvement de feu Soumaïla Cissé. La libération du chef de file de l’opposition a provoqué celle d’une centaine de terroristes retenus dans nos prisons. Bien que l’Accord d’Alger prône la paix, la violence est plus au rendez-vous que l’accalmie.
Baron et principal bras séculier des mouvements séparatistes, il a continué ses manœuvres dilatoires. Ce n’est donc pas un hasard si cette figure de la rébellion est au cœur de la gamme.
Malgré l’adhésion de la Coordination (…)
BAMOÏSA
NOUVEL HORIZON