Selon les experts, la mine de Namanhumbir détient  40 pour cent des réserves de rubis du monde et regorge d’autres pierres précieuses.

La zone minière s’étend sur 33 600 hectares et est exploitée par Montepuez Ruby Mining (MRM), détentrice d’une licence de 25 ans accordée par le gouvernement mozambicain.

MRM travaille en partenariat avec la société britannique Gemfields qui détient 75 pour cent des parts.

Depuis la découverte du gisement en 2009, des mineurs illégaux, en provenance du Mozambique et d’autres pays d’Afrique, se sont rués vers la localité pour exploiter les pierres précieuses sans autorisation.

Parmi les exploitants illégaux 205 sont originaires du district de Montepuez, tandis que 346 sont venus des autres régions et des autres pays africains dont la Tanzanie, la Guinée-Conakry, le Mali, le Rwanda, la République démocratique du Congo, le Sénégal, la Somalie et la Thaïlande.

 

CM/as/pn/od/APA