Il faut noter que SOS Villages d’enfants Mali est une structure d’accueil des enfants en situation difficile et compte aujourd’hui quatre structures de prise en charge de remplacement (Villages d’enfants SOS) : Sanankoroba, Socoura / Mopti, Kita et Khouloum/Kayes.
Ces quatre structures d’accueil et d’encadrement des enfants présentent un effectif total de 490 enfants et jeunes au 31 décembre 2017. Dans son intervention, le président du conseil d’administration de l’Association, Mamadou Marouf Keïta a rappelé les grandes réalisations de l’Association pendant la période susmentionnée. Il s’agit, selon lui, notamment de la participation de deux jeunes (1 fille et un garçon) à la conférence panafricaine pour l’employabilité des jeunes, tenue du 22 au 24 août à Addis-Abeba ; la formation de 8 jeunes (4 filles et 4 garçons) en hôtellerie ; la formation de 30 jeunes sur la vie associative ; au plan scolaire, un taux de passage général de 80, 26% a été enregistré et un taux de 77, 41% a été réalisé aux différents examens de fin d’année (24 admis / 31 candidats) ; dans le cadre de l’intégration sociale et l’autonomisation des jeunes, 11 jeunes dont 5 garçons sont sortis de la prise en charge SOS le 31 décembre 2017. Le nombre de jeunes rendus autonomes ainsi à 184 jeunes (116 garçons et 71 filles). Selon un documentaire sur les différentes réalisations de l’Association en 2017, dans le domaine de la mise en œuvre des objectifs stratégiques dans le pays, les activités de l’AMVESOS ont porté essentiellement sur cinq initiatives stratégiques (IS) parmi les sept IS de SOS Villages d’enfants international. Le premier point consiste à renforcer l’accompagnement des enfants en innovant la prise en charge (IS1) dont l’effectif des enfants au 31 décembre 2017 est de 667 sur une prévision de 775 soit un taux de réalisation de 86,06%. A en croire le document, l’écart entre la réalisation et la prévision s’explique par le choix de revoir à la baisse le nombre d’enfants par maison familial (8 au lieu de 10, pour permettre une meilleure prise en charge. Le deuxième point consiste à contribuer à la lutte contre la précarité, pour le respect des enfants et la prévention de l’abandon d’enfants (IS2) dont les programmes de renforcement de la famille (IS2) soutiennent 3599 jeunes au 31 décembre 2017 sur une prévision de 3680. Le troisième point consiste à mieux préparer les jeunes en vue de leur insertion socioprofessionnelle (IS3) dont le renforcement de l’autonomie des jeunes répond à l’engagement des SOS Mali auprès du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et l’exclusion à travers une éducation de qualité. Le quatrième point consiste à poursuivre le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication (IS6) dont l’exploitation rationnelle des nouvelles technologies (IS6) se poursuit. « L’institution et la tenue régulière des réunions mensuelles en ligne entre la direction nationale et les différents programmes vers le bureau national à Bamako. » souligne le document. Et en fin le cinquième point consiste à développer une politique de mobilisation de recettes locales plus efficace pour amorcer le processus d’autofinancement de l’Association nationale (IS7) dont la mobilisation de ressources locales qui s’inscrit dan s l’IS7, constitue l’une des réelles difficultés que rencontre l’A.M. VESOS. Moussa Dagnoko le samedi 17 mars 2018, sa 18ème Assemblée générale ordinaire au Mémorial Mobibo Keïta. L’ordre du jour de la rencontre était de partager le bilan des activités 2016 – 2017 avec les membres de l’Association et les partenaires. La cérémonie d’ouverture des travaux a enregistré la présence du président du conseil d’administration de l’Association, Mamadou Marouf Keïta, du ministre des Infrastructures et de l’Equipement, Mme Traoré Seynab Diop, du représentant du ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Ibrahim Coulibaly.
Il faut noter que SOS Villages d’enfants Mali est une structure d’accueil des enfants en situation difficile et compte aujourd’hui quatre structures de prise en charge de remplacement (Villages d’enfants SOS) : Sanankoroba, Socoura / Mopti, Kita et Khouloum/Kayes. Ces quatre structures d’accueil et d’encadrement des enfants présentent un effectif total de 490 enfants et jeunes au 31 décembre 2017. Dans son intervention, le président du conseil d’administration de l’Association, Mamadou Marouf Keïta a rappelé les grandes réalisations de l’Association pendant la période susmentionnée.
Il s’agit, selon lui, notamment de la participation de deux jeunes (1 fille et un garçon) à la conférence panafricaine pour l’employabilité des jeunes, tenue du 22 au 24 août à Addis-Abeba ; la formation de 8 jeunes (4 filles et 4 garçons) en hôtellerie ; la formation de 30 jeunes sur la vie associative ; au plan scolaire, un taux de passage général de 80, 26% a été enregistré et un taux de 77, 41% a été réalisé aux différents examens de fin d’année (24 admis / 31 candidats) ; dans le cadre de l’intégration sociale et l’autonomisation des jeunes, 11 jeunes dont 5 garçons sont sortis de la prise en charge SOS le 31 décembre 2017. Le nombre de jeunes rendus autonomes ainsi à 184 jeunes (116 garçons et 71 filles).
Selon un documentaire sur les différentes réalisations de l’Association en 2017, dans le domaine de la mise en œuvre des objectifs stratégiques dans le pays, les activités de l’AMVESOS ont porté essentiellement sur cinq initiatives stratégiques (IS) parmi les sept IS de SOS Villages d’enfants international. Le premier point consiste à renforcer l’accompagnement des enfants en innovant la prise en charge (IS1) dont l’effectif des enfants au 31 décembre 2017 est de 667 sur une prévision de 775 soit un taux de réalisation de 86,06%. A en croire le document, l’écart entre la réalisation et la prévision s’explique par le choix de revoir à la baisse le nombre d’enfants par maison familial (8 au lieu de 10, pour permettre une meilleure prise en charge.
Le deuxième point consiste à contribuer à la lutte contre la précarité, pour le respect des enfants et la prévention de l’abandon d’enfants (IS2) dont les programmes de renforcement de la famille (IS2) soutiennent 3599 jeunes au 31 décembre 2017 sur une prévision de 3680. Le troisième point consiste à mieux préparer les jeunes en vue de leur insertion socioprofessionnelle (IS3) dont le renforcement de l’autonomie des jeunes répond à l’engagement des SOS Mali auprès du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et l’exclusion à travers une éducation de qualité.
Le quatrième point consiste à poursuivre le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication (IS6) dont l’exploitation rationnelle des nouvelles technologies (IS6) se poursuit. « L’institution et la tenue régulière des réunions mensuelles en ligne entre la direction nationale et les différents programmes vers le bureau national à Bamako. » souligne le document. Et en fin le cinquième point consiste à développer une politique de mobilisation de recettes locales plus efficace pour amorcer le processus d’autofinancement de l’Association nationale (IS7) dont la mobilisation de ressources locales qui s’inscrit dan s l’IS7, constitue l’une des réelles difficultés que rencontre l’A.M. VESOS.
Moussa Dagnoko
Source: Le Républicain