Le coup d’Etat au Burkina-Faso viole les principes fondateurs du Conseil de l’Entente, dont il membre.
Le coup d’Etat au Burkina-Faso viole les principes fondateurs du Conseil de l’Entente, dont il membre.
L’organisation sous-régionale se déclare préoccupée par la remise en cause de l’ordre constitutionnel.
Le Conseil exige la préservation de l’intégrité physique du Président Roch Marc Christian Kaboré.
L’organisation comprend le Bénin, Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger et le Togo.
Les protestations après le coup de force des militaires à Ouagadougou sont unanimes. Union africaine, Cédéao, Nations Unies, Union européenne … ont déploré ce nouveau coup d’Etat en Afrique de l’Ouest.
Un vent toxique de restauration autoritaire.