La décision a été prise samedi dans la soirée par le Syndicat des professionnels de la communication, Syprocom.
La radio et télévision gabonaises, qui emploient plus de 700 personnes, avaient cessé d’émettre depuis lundi dernier pour protester contre le non-paiement de leur arriéré de salaire, mais surtout pour dénoncer ce qu’ils estiment être de l’ingérence du pouvoir dans leur travail.
Ecoutez Edgard Ndziembio Doukaga le vice-président du Syprocom.Il explique pourquoi le mot d’ordre a été suspendu.
BBC