Décidément l’avers de la générosité en bondieuserie de la Chine à l’endroit de l’Afrique coûtera telle chère de revers aux Africains !?
Que peut-il en être du ressentiment à l’égard d’une famille (Afrique) à qui l’on ne cesse de faire des dons et de prêts gratuits… ! À l’instar de l’annonce sous prismes d’enchantements incantatoires de l’environnement institutionnel malien dont l’actuel chef suprême de l’État, Ibrahim Boubacar Keita, es qualité reçu en visite officielle en Chine, accepta recevoir (allez savoir si ce n’est fruit d’imploration mendiante) de l’homologue chinois un don sans condition de 18 milliards de FCFA (27 millions et demi d’euros) ainsi qu’un prêt sans intérêt de 8 milliards de FCFA (quelque 12 millions d’euros).
Quel(s) regard(s) en découlerai(en)t…
Nombres d’Africains candides, indiscutablement les moins mis en condition de perceptibilité de fond éloignée de lecture de forme et en difficultés d’ouverture à la compréhension des enjeux au loin obscurs, exulteront de probable répercussion des dites sommes « annoncées » allouées à l’amélioration de leur quotidien et à l’embellissement de leur environnement sociétaire par des constructions (ouvrages) de ressemblance à ce qui flattent leur lubie d’assimilation aux sociétés étrangères. L’espérance (endormissement) n’aura de plus belle de force que la répétition d’annonce.
Nombres d’autres Africains laudateurs, indiscutablement les opportunistes en souffrance d’esprit madré (rusé) en quête d’extraction de nasse de quotidien guêtre sans éclat et de loin disert (convainquant) qu’enchanteur (prestidigitateur), emboîteront de chantonnement l’annonce entonnant d’hypothétiques floraisons (épanouissement) de mieux être dans la mansuétude humanitaire étrangère à s’ouvrir à doter les Africains de dispositions (moyens) à imaginer un futur meilleur allégeant des incapacités africaines. D’autres blafards virtuoses difficilement différentiable de trogne de paumé, épris de digressions (hors sujet) à tout mélanger, s’arc bouteront de combativité contre l’Occident présenté en mère de tous les malheurs africains pour mieux éluder (enfouir) les propres incapacités à matérialiser un mieux être avec les forces africaines (matérielles, humaines, etc.).
Nombres d’autres Africains impétrants, indiscutablement les séides se pâmant d’admiration du leader suprême sans qui ils n’auraient auréole et d’existence publique (fonction administrative), rivaliseront d’arguties (subtilité du langage) en circonlocutions (périphrases) empruntant des lexiques techniques à expliciter l’emploi des dites sommes octroyées dans des mécanismes poursuivant de finalité la crédibilité des institutions (ajustement des déficits publics, structuration d’intérêts des dettes et de la dette, rationalité macroéconomique, etc.). Ce qui viendrait à ripoliner (masquer) le défaut d’impact et de transposition directe d’effet dans l’espace sociétal, des sommes données et prêtées gracieusement, couvrant sans nulle doute de tentation aux pratiques de forfaitures administratives donnant indubitablement à des prévarications et autres formes de resquille (détournements).
D’évidence ces différentes observations énoncées ci-dessus ne mettront pas à mal l’infecte malsaine entreprise chinoise à séduire tout en affaiblissant à nouveau en continuité l’Africain. Bien au contraire, elles les décupleront…avec comme fétide roublardise « abcès » l’esclandre bruyante comme quoi la Chine ne se mêle -directement- des problèmes politiques interne à l’Afrique : Ben voyons à en croire que la générosité assassine ne saurait être problématique et politique !
Au-delà des distorsions politiques envisageables des mouvances politiques de tous bords, en quête de part de profit du pactole, dont vont se fendre en déchirement de vues à objurgation (prières) de manière au cadre d’utilisation des bienvenus financements : se poursuivra d’enracinement le mépris à inscrire les Africains sur les traces des vertus et des valeurs de la dignité de propres faits et réalisations ! À croire que la Chine pour en être ce qu’elle est de force économique et sociétaire à nos jours, au point d’aspirer aussi de conquête africaine par l’usage en perversité de la séduction, eût recours à des Dons et Prêts gratuits pour se réaliser !
Un fait s’analyse que la Chine , si tant est que l’on voudrait à ne pas lui accoler (reconnaître) l’étiquette de complicité à entente internationale d’avec l’Occident dans l’émanation de contentions et basses manœuvres à nuire à l’Afrique convoitée et désamorcer (empêcher) de vitalité l’esprit l’Africain, ne serait-ce que de symbolique, elle se serait soustrait et se délester d’appellation de République ! Le concept et la construction de république lui étant d’histoire et de vécu (présent) étrangers.
La Chine sert que trop bien le puant manifesté -intérêt économique international- à malmener l’Afrique et les Africains à quelconque forme d’emprise et d’expression de mieux être en se disposant à séduire par des octroies d’aides financières (don, prêt et autres) qui de fond n’ont de saveur d’aides que le prononcé ! Un éminent leader africain, Feu illustre Thomas Sankara, eut à laisser entendre de bien fait qu’il puisse en être : qu’il était souhaitable que toute éventualité d’aide ou d’assistance à l’intention et destination de l’Afrique se devrait d’être érigée et dirigée par le souci à se passer de l’aide ! La représentation chinoise -ici commentée- n’en est surement pas de cette saveur au don et prêt gratuit chinois à l’endroit à nos jours du Mali et sous d’autres vues formelles à destination de nombres autres États africains !?
L’Africain tout aussi humain que le Romain d’époque qui réalisa divers grands ouvrages publics ; Que l’Asiatique qui concurrence tant bien que mal à nos jours l’occidental héritier du romain ; Que l’Arabe qui tire aussi que possible profit des richesses de son environnement : ne saurait par nature et au loin de principe être en incapacité à se réaliser de lui-même pour s’adonner à l’enfermer de maléfique à la prétendue compassion humanitariste d’autres.