Une partie des lingots blanchis sommeille dans les sous-sols blindés d’établissements bancaires suisses, dans l’attente d’une hausse des cours. Une autre est vendue sur les places de Londres, Paris, Zurich ou Dubaï, pour satisfaire les besoins du marché arabe ou asiatique.
Une autre enfin part en Italie, chez des orfèvres, avant de repartir vers l’Inde, le Maghreb et l’Amérique latine. L’or conserve un bel avenir. Son cours a dépassé aujourd’hui un de ses plus hauts niveaux depuis les années 1980: plus de 16 000 euros le kilo. La demande est importante, comme toujours en temps de crise.
Inter de Bamako