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Présidentielle aux Etats-Unis : voici les 7 péchés d’Hillary Clinton qui pourraient la couler

La présidentielle aux Etats-Unis est déjà lancée par plusieurs actions des deux candidats en lice. Le controversé Donald Trump et « la scandaleuse » Hillary Clinton. Cette dernière mêlée depuis des années à des scandales voit, dans cette course à la Maison Blanche, resurgir « ses péchés mignons » queson adversaire pourrait utiliser contre elle. Voici ses 7 péchés qui pourraient la faire couler, selon le journaldemontreal.com.

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C’est une première dans la présidentielle américaine ET des Etats-Unis de voir une femme candidate presque rassurer de rentrer à la Maison Blanche en 240 ans d’histoire de ce pays. Entre le candidat Donald Trump et la candidate Hilary Clinton, les hostilités ont déjà commencé. Si ce dernier (M. Trump) traîne une batterie de casseroles qui risque fort de nuire à sa campagne, il n’en est pas moins pour  Hillary Clinton qui a longtemps été éclaboussée par plusieurs scandales. 7 scandales que Donald Trump pourrait utiliser pour couler son adversaire.

1-LES CONTRATS À TERME

Il s’est produit entre 1978 et 1980. Alors jeune avocate, Hillary s’improvise courtier dans le commerce de bétail à la Bourse de Chicago, où elle n’a aucune espèce d’expérience. Un premier placement de 1000 $, puis s’ajoutent d’autres transactions pendant 18 mois, lui permettant d’engranger un gain de capital de 100 000 $. Théoriquement, ses avoirs personnels n’étaient pas suffisants pour obtenir l’autorisation même de transiger à cette bourse. C’est son partenaire avocat qui l’aurait endossée. Ce scandale a été révélé par New York Times une fois que les Clinton rentrés à la Maison Blanche, soit une quinzaine d’années plus tard.

2-LE WHITEWATER

Il s’agit d’un projet immobilier qui a mal tourné pour le couple Clinton dans l’Arkansas à la fin des années 70. En ce temps, il y avait comme partenaires dans ce projet les couples Bill et Hillary et un autre couple, Susan et James McDouglas. Un projet qui a échoué en 1983, dans lequel le couple Clinton a perdu de l’argent, et pour lequel plusieurs personnes, dont les McDouglas et le successeur de Clinton au poste de gouverneur de l’Arkansas, ont été trouvées coupables de fraude plus tard. Les Clinton n’ont jamais été mis en cause. Mais cette affaire a conduit à des morts d’hommes dont Vince Foster, un proche ami et conseiller d’Hillary. Trois enquêtes policières ont été ouvertes sur la mort de cet homme qui avait en sa possession plusieurs documents des Clinton liés à l’affaire Whitewater.

3-MONICA ET AUTRES AFFAIRES EXTRACONJUGALES DE SON MARI

Cette affaire a fait couler beaucoup d’encre et de salive. Elle a été en partie pour les déboires de Bill Clinton à la Maison Blanche. Il s’agit d’une relation amoureuse entre une stagiaire Monica Lewinsky et le locataire à l’époque de la Maison Blanche,  Bill Clinton. Elle a éclatée grâce à des enregistrements de conversations dans lesquels, la jeune femme avoue à une autre personne avoir eu des relations sexuelles avec le président Clinton. Qui a d’abord réfuté les accusations, pour plus tard admettre qu’il avait eu une relation inadéquate avec la stagiaire Monica. A l’éclatement de cette affaire ont suivi plusieurs autres telles que celle de Paula Jones, etc. Hillary, la candidate des féministes, a malgré tout toujours soutenu et défendu son mari contre toutes ces accusations.

4-L’APPUI À LA GUERRE EN IRAK

La guerre contre l’Irak en 2003 a été vue comme étant une réponse appropriée aux attentats du 11 septembre, selon plusieurs personnalités de la planète.  Mais l’histoire leur a bel et bien donné tort. La chute de Saddam Hussein n’a conduit qu’à la destruction de la région. A travers le monde les personnes qui ont encouragé cette invasion américaine figurait Hillary Clinton.

5-LE FINANCEMENT DE LA FONDATION CLINTON

En 2001, Bill Clinton quitte la Maison Blanche.  Comme la plupart des anciens locataires de la Maison Blanche, il a créé Clinton Foundation (créée en 1997), pour financer divers projets caritatifs à travers le monde. Une fondation qui reçoit des dons de partout dans le monde. Selon une enquête parue en 2015, certains donateurs se sont servis de cette Fondation pour brasser des affaires. Parmi eux, un entrepreneur minier canadien, qui a acquis de grands gisements d’uranium au Kazakhstan. Frank Giustra, de Vancouver. En retour, il a donné à la Fondation quelque 36 millions $. Aussi, la Fondation s’est empêtrée à quelques occasions dans des imbroglios fiscaux. Et cela, pendant qu’Hillary Clinton officiait comme secrétaire d’État. Toute chose qui n’est pas loin d’un conflit d’intérêts.

6-BENGHAZI

Le 11 septembre 2012, le consulat des États-Unis à Benghazi, en Libye, est attaqué par des insurgés. L’attaque s’est soldée par la mort de quatre Américains, dont l’ambassadeur en Libye. A la suite plusieurs versions ont été entendues sur la nature de cet événement malheureux qui était en réalité une attaque terroriste.
Dès le départ, Hillary Clinton savait qu’il s’agissait non pas d’une émeute provoquée par la diffusion quelques jours plus tôt d’une vidéo anti-islam aux États-Unis, mais d’un attentat fomenté par Al-Qaïda. Pourquoi avoir affirmé le contraire? Que voulait-on cacher? Les sources indiquent que la secrétaire d’Etat s’est même confiée à sa fille, Chelsea, le soir même de l’attaque, comme étant un acte terroriste. Les enquêteurs on su cela après sur  un serveur où se trouvait l’échange de courriels avec Chelsea.

7-LES COURRIELS

C’est le plus récent des scandales dans la cour familiale des Clinton. Alors secrétaire d’État (la ministre des Affaires étrangères, entre 2009 et 2013), Hillary Clinton a utilisé un compte courriel personnel, associé à un serveur logé à son domicile, allant contre les règles les plus minimales en termes de sécurité informatique qu’à la loi. Dans ces milliers de courriers il se trouvait des informations sensibles, des secrets d’État, malgré le démenti de Mme Clinton. Le directeur du FBI a qualifié son comportement d’extrême négligence, puisque de nombreuses communications ont pu avoir été interceptées par des ennemis des États-Unis. Le Sénat poursuit toujours son enquête à ce sujet.

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