Les contrôles de routine en période de pointe visent à renforcer la sécurité des usagers et prévenir les dysfonctionnements.
Bien planifiés, ils contribuent à fluidifier la circulation à Bamako. Seul hic sur le terrain, certaines pratiques laissent à désirer. Exemple récent, un dispositif de contrôle a créé un embouteillage monstre entre le Monument de la Paix et la Cité ministérielle, avec seulement quelques agents en bout de file pour les vérifications.
Conséquence : des automobilistes qui rebroussent chemin, créant d’autres bouchons et des situations à haut risque. Parfois, il faut patienter près de 40 minutes avant de franchir le barrage. La méthode n’est-elle pas à revoir ?
La Rédaction