Au programme, plusieurs activités parmi lesquelles un panel pour discuter des vertus du thé, de ses avantages, de ses bienfaits sur la santé, ainsi que des conséquences d’une consommation excessive.
Mme Rokiatou Camara, initiatrice de l’événement, a souligné la nécessité de mettre en avant la jeunesse et l’audace entrepreneuriale. Elle a également évoqué la nécessité de valoriser le thé et les aliments qui l’accompagnent, soulignant ainsi leur rôle essentiel dans la culture culinaire locale.
Ali Dao, chargé de culture à l’UNESCO, a quant à lui souligné que le thé était bien plus qu’une simple boisson, étant un véritable catalyseur de paix et de cohésion sociale. Il a appelé à débattre des enjeux de société et à améliorer l’organisation future du festival pour renforcer son impact.
La présidente de la Fondation Hera, Me Tall Nadia, s’est félicitée de la réussite de cette première édition. Elle a qualifié le thé de symbole de cohésion et d’opportunité pour l’entrepreneuriat local. Elle a insisté sur l’importance de l’accompagnement et du soutien aux jeunes, ainsi que sur la nécessité de produire localement le thé plutôt que de l’importer.
Pour Mme Diarrah Sanogo, elle a souligné l’importance capitale de cet événement, qui met en avant son impact social et sa capacité à changer les perceptions négatives entourant le thé, en particulier chez les jeunes. Elle a conclu en qualifiant le thé de “magique”, soulignant ainsi son potentiel transformateur pour la société.
Adama Coulibaly