L’écho des actions de Mme la Première Dame en faveur de la santé de la mère et de l’enfant en particulier et de la famille en général, a dépassé les frontières de notre pays et même du continent. Sa réputation de militante de la cause de la mère et de l’enfant lui a valu d’être l’invitée d’honneur du Sommet « Appel à l’Action » de New Delhi, en Inde, dans le but de réduire la mortalité maternelle, néonatale et infantile.
C’est donc tout naturellement que KEITA Aminata MAIGA a présidé le vendredi 28 août 2015 la session« Survivre, Prospérer et Transformer ».
La session visait à démontrer l’importance des programmes de santé publique d’une part, et proposer des stratégies pour les nouveaux-nés et les enfants afin que non seulement ils survivent mais aussi qu’ils prospèrent d’autre part.
Cette session était l’une des sessions les plus attendues par les participants du Sommet de New Delhi.
Premièrement parce que KEITA Aminata MAIGA était la seule Première Dame invitée au Sommet et qu’ils avaient hâte de l’entendre.
Deuxièmement parce qu’ils souhaitaient bénéficier des expériences développées ailleurs pour permettre aux femmes, aux enfants et aux adolescents désavantagés en matière d’inclusion socio-économique d’avoir un meilleur accès aux services de santé.
Profitant de la tribune de New Delhi, KEITA Aminata MAIGA a, dans un premier temps, exposé la vision d’ensemble de la session. Ensuite, dans un second temps, elle s’est exprimée longuement sur les avancées considérables enregistrées par le Mali à l’aune des excellents résultats obtenus par le continent africain. En effet, selon les statistiques, 30% des pays africains sont en voie d’atteindre ou ont déjà atteint l’OMD 4 (Réduire la mortalité infantile et post-infantile). Conséquence, avec la convergence des actions à tous les niveaux, la vie de millions d’enfants et de mères pourra être sauvée.
Pour Mme la première Dame, New Delhi aura été une excellente tribune pour communiquer sur son expérience d’une part, et nouer des partenariats pour les actions futures d’autre part.
source : Présidence de la République