On a coutume de dire qu’il faut rendre à César ce qui est à César. Cela lui revient de droit, et mettra fin aux polémiques. Aujourd’hui cet adage sied parfaitement à Mamoutou Touré dit Bavieux par rapport à sa décision de briguer la présidence de la Fédération malienne de football (Fémafoot), le 29 août 2019, au Centre International de conférences de Bamako (CICB). Depuis plus de 30 ans l’homme est dans le milieu du football. Et après une rupture presque consommée entre certains acteurs de notre sport-roi, la réunification de la grande famille du football malien s’impose. Bavieux, en prenant la lourde responsabilité de se déclarer candidat pour la présidence de la Fémafoot, se situe dans cette logique. C’est autour d’un slogan prometteur : “agir pour rebâtir”. Agir comment ? Rebâtir quoi ?
Mais l’analyse de son document de campagne évite toute gymnastique intellectuelle pour comprendre qu’il a une argumentation solide. Parce que ses camarades et lui ont mesuré toute la charge et les difficultés qui les attendent.
Leur priorité n’est pas aujourd’hui la quête de meilleurs résultats, mais ils ont un devoir : l’immense tâche de la recomposition du tissu relationnel. Quand on sait qu’au-delà des bons résultats de notre football, une crise sans précèdent a consacré une rupture entre les acteurs du football, dans un environnement où tous les coups étaient permis, avec comme conséquence, le dégoût de la discipline. Face à un tel désastre, dans l’administration, la gestion, la pratique du football malien, Mamoutou Touré dit Bavieux prend l’engagement solennel de s’atteler à recoudre les morceaux. Bref “Agir pour rebâtir” sera le bréviaire de sa liste.
Mieux Bavieux et ses colistiers ambitionnent de moderniser l’administration de la Fédération, avec des textes et règlements qui ne laisseront que très peu de place à des interprétations partisanes. Avec une amélioration de leur organisation, les compétitions nationales seront attrayantes dans le but de faire profiter les ligues et les clubs. Pour de telles ambitions, il faut quand même avoir une certaine assise intellectuelle, et connaitre la matière à gérer. Déjà le parcours de Bavieux plaide suffisamment à sa faveur.
Qui est Mamoutou Touré dit Bavieux ?
Né en 1957 à Bamako, Mamoutou Touré dit Bavieux est un inspecteur des finances. Il détenteur d’un diplôme de master en audit et contrôle de gestion, d’une licence en sociologie, décroché à l’Université de Berlin, en Allemagne.
A l’Assemblée nationale, où il occupe présentement le poste de directeur des services administratifs et finances, il a gravi tous les échelons. Parcours qu’il a commencé en 1984, comme chef de service matériel et transport. Il deviendra par la suite chef de section, chef de division, directeur adjoint des services administratifs et financiers. Toutes ces promotions sont soutenues par des séminaires de formation à l’extérieur (Canada, France, Belgique, Dakar, Burkina Faso).
Son aventure en tant que dirigeant et administrateur du football débute en 1989 quand il hérita du secrétariat administratif de l’AS Réal de Bamako. Il en sera le secrétaire général en 1991, après avoir occupé le poste d’adjoint pendant un an. Cette ascension fulgurante le propulse à la Ligue de football de Bamako, où il devient vice-président de la commission finances entre 1992 et 1993. Année à laquelle on lui confie la présidence de la commission régionale des arbitres.
Mamoutou Touré dit Bavieux n’attendra pas longtemps pour intégrer la Fédération malienne de football en 1994, en qualité de président du football féminin. Il occupa dans la même mandature successivement le poste de président de la commission des programmes (1994-2000), celui de vice-président de la commission technique (1994-2002). Pour maintenir le cap de notre pays en matière de compétitions de jeunes, le président à l’époque de la Fédération, Tidiane Niambélé, lui confie en 2002, la charge.
En 2005, Mamoutou Touré dit Bavieux et ses compagnons prennent du recul, pour mieux préparer leur retour. Chose qu’ils réussiront logiquement en 2013, à la faveur de l’élection de Boubacar Baba Diarra, où il dirige la commission centrale du football professionnel, avant d’occuper le poste de 1er vice-président. L’année 2013 consacre également son entrée dans la commission marketing et TV de la Confédération africaine de football (Caf). Et déjà depuis 2012 il est commissaire de matches de la Caf.
Dans le contexte post-crise du football malien, où le double défi demeure la réconciliation et la réunification de la grande famille du football, le parcours de Mamoutou Touré dit Bavieux s’impose comme un laisser-passer. O. Roger Sissoko
Deux questions à Kassoum Coulibaly dit Yambox :
“Le vécu de Bavieux dans le milieu du football est un atout majeur pour pouvoir rassembler tous les acteurs du football malien”
Kassoum Coulibaly plus connu sous le nom de Yambox est le président de la Ligue de football du district de Bamako. Il est également sur la liste de Mamoutou Touré dit Bavieux, candidat pour la présidence de la Fédération malienne de football (Fémafoot).
Pourquoi soutenez- vous la candidature de Mamoutou Touré ”Bavieux” ?
Je soutiens la candidature de Mamoutou Touré parce que je connais l’homme et en plus de cela il a un excellent programme. Bavieux est quelqu’un qui a toujours vécu autour du football, dans le football et le football est sa passion. Nous partageons un point de vue dans son programme qui est la politique des jeunes. Je me suis toujours battu pour qu’on ait une politique de jeunes dans le football malien avec beaucoup de sérieux et de la discipline. C’est-à-dire des jeunes qui respectent les dirigeants, les encadreurs et les parents. Aussi la problématique de l’âge dans le football est très importante pour les catégories jeunes. Il y a beaucoup de parents qui courent dernière les sélectionneurs pour que leurs enfants puissent être sélectionnés en falsifiant leur âge. Ce n’est pas une bonne politique de jeunes. Il faut qu’on aille sur du vrai pour avoir des jeunes sportifs dignes de ce nom.
Dans son programme, il y a aussi l’organisation du football malien dans toutes les catégories. Bavieux a aussi un excellent programme sur l’organisation de l’administration de la Fédération, avec des professionnels qui ne travaillent que pour le football et qui n’ont pas l’esprit partisan.
Mamoutou Touré dit Bavieux prône aussi la réconciliation qui est un élément important dont nous avons besoin aujourd’hui pour développer notre football.
Selon vous, quels sont les atouts de Bavieux pour rassembler les acteurs du football malien ?
Le vécu du candidat Mamoutou Touré ” Bavieux ” dans le milieu footballistique est un atout majeur pour lui pour pouvoir rassembler les acteurs du football malien. C’est quelqu’un qui a une très grande expérience et il est l’homme qu’il faut pour la réconciliation. C’est quelqu’un qui a de très bonnes relations avec tous les acteurs du football malien. Il n’a pas d’antécédent belliqueux dans le football et il n’aime que le football. Il peut rassembler les gens autour de ce sport.
Pour rappel, c’est lui qui avait proposé un bureau consensuel afin que tous les acteurs du football puissent se retrouver autour de ce sport, mais il n’a pas été écouté parce que beaucoup pensent à autre chose que le développement de notre football. Je suis sûr, Bavieux dispose d’arguments nécessaires pour rassembler les acteurs autour de notre sport roi.
Sidi Bekaye Magassa :
“Bavieux est un rassembleur doublé d’un esprit de partage”
J’ai décidé de soutenir Mamoutou Touré dit Bavieux, mieux, de l’accompagner car je crois en l’homme à les capacités pour relever les défis.
Bavieux a de multiples atouts pour rassembler les acteurs du football. D’abord par sa connaissance du milieu ainsi que des hommes et femmes qui l’animent. Ensuite, dans son programme, il a fait de la réconciliation un enjeu majeur pour la relance du football dans notre pays. Il est l’un des rares dirigeants à comprendre que tous les acteurs sont importants et ont leur place dans la refondation de notre football. Enfin Bavieux est un rassembleur doublé d’un esprit de partage”.
Ichaka Diakité, vice-president de l’Us Bougouni :
“Bavieux est le mieux indiqué pour réunifier notre famille”
Ichaka Diakité est le vice-président de l’Union sportive de Bougouni et
Il est bel et bien sur la liste de Mamoutou Touré dit Bavieux.
L’Union sportive de Bougouni, à travers ma personne, soutient Mamoutou Touré dit Bavieux d’où ma présence sur sa liste. Nous estimons qu’il a la carrure, la sagesse et la compétence pour réunifier la famille du foot malien. Ses atouts sont ses connaissances du football malien car étant dans ce milieu depuis 30 ans en tant que joueur et dirigeant. Il a déjà occupé plusieurs fonctions au niveau de la Fédération malienne de football et même à la Confédération africaine de football (Caf). Aussi, Bavieux est vraiment un homme humble et très respectueux de la personne humaine. C’est un rassembleur et il jouit du respect de tous dans le milieu du foot”.
Amby Diaby dit Kélétigui, président de la ligue régionale de football de Sikasso :
“J’ai été très séduit par le programme de Bavieux que je trouve très ambitieux… En plus, cet homme respecte sa parole donnée”
Je soutiens la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux pour la présidence de la Fédération malienne de football pour plusieurs raisons. Primo, depuis 2015 nous sommes ensemble pour le même combat, celui de sauver le
football malien. En plus, Mamoutou Touré dit Bavieux est le produit de grands dirigeants sportifs qui ont beaucoup contribué au développement du football malien. Ensuite, Bavieux dispose aujourd’hui d’une grande expérience de dirigeant sportif (plus de 30 ans). Sans oublier sa personnalité à savoir sa grande capacité d’écoute, son sens du partage.
Sincèrement, j’ai été très séduit par son programme que je trouve très ambitieux et qui met beaucoup l’accent sur les acteurs du football, les structures, ainsi que les compétitions locales. En plus de son ardent désir de rassembler tous les acteurs.
Je suis convaincu que Bavieux dispose de tous les atouts afin de rassembler l’ensemble des acteurs du football malien.
J’ai été aussi impressionné par son caractère, ses relations et surtout sa méthode de travail (travail en équipe). Enfin, il n’a pas d’antécédent négatif qui pourrait le handicaper. C’est pourquoi, on peut lui faire confiance pour rassembler tous les acteurs du football. En plus, Bavieux respecte sa parole donnée.
Me Boubacar Karamoko Coulibaly, président du Stade malien de Bamako
“Bavieux est doté d’un leadership à nul autre pareil. Un homme qui a dédié l’essentiel et le meilleur de sa vie au football”
Me Boubacar Karamoko Coulibaly est le président du Stade Malien de Bamako, le club le plus populaire du Mali. Il est également sur la liste du candidat Mamoutou Touré dit Bavieux à l’élection pour la présidence de la Fédération malienne de football, prévue le 29 août prochain. Cet homme averti connait parfaitement Bavieux Touré pour en parler mieux que quiconque.
Je ne soutiens pas seulement la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux. Je fais mieux en l’incarnant à travers mon inscription avec d’autres personnalités sur sa liste de candidature.
Bavieux est avant tout un homme que je côtoie dans le domaine du football depuis environ 30 ans. Ce qui dit le poids, le volume et la force de toute l’expérience dont il est porteur.
Au cours de ces longues années d’engagement au service du football malien, l’homme a aussi construit, au fil du temps, d’excellentes relations interpersonnelles au plan international, avec des personnalités du football de divers horizons. Ce qui lui donne l’avantage de posséder un large portefeuille de relations pointues, tant au niveau de la Caf que de la Fifa qui sont les principales organisations faîtières du football.
Si les électeurs lui font confiance le 29 août 2019, ce sont donc d’énormes capacités de mobilisation de ressources financières et de programmes de développement qui seront alors au service du football malien.
Homme social et sociable, venant de la branche Touré des 4 mythiques familles maures fondatrices de Bamako, aux côtés des Niaré, il dispose de tous les atouts pour réconcilier le monde du football malien.
Doté d’un leadership à nul autre pareil, l’homme a donc, sur le plan moral et intellectuel, la capacité de pacifier le monde du football malien. Convaincu qu’il est, que rien de grand et de solide ne peut se réaliser dans l’instabilité, l’incertitude des passions aveugles et le désordre qui peut en découler. D’ailleurs, le premier axe de son projet pour le Mali du football à travers l’organisation d’un forum de réconciliation nationale en dit long et suffisamment dessus. Son grand sens de discernement lui sera à cet égard d’un grand atout.
Et comment ne pas être séduit par l’ambition qu’il a doté chaque ligue régionale d’un siège propre à elle avec toutes les commodités de fonctionnalité.
L’épanouissement desdites ligues lui tenant à cœur, il a également prévu, s’il est élu, de revoir en hauteur et en volume leur situation financière. Cette dernière dédicace à l’endroit des ligues s’étendra aussi aux clubs qui animent les différentes compétitions nationales. À cet égard, il entreprendra une réforme portant sur l’assiette des retombées financières des sélections nationales, en provenance de la Caf et de la Fifa.
Bavieux s’est engagé, s’il est élu le 29 août 2019, de revoir conséquemment les indemnités jusqu’ici allouées aux commissaires de match, aux arbitres et autres officiels de match, de façon mièvre. Ainsi le football reviendra à ses véritables amoureux.
Mamoutou Touré dit Bavieux instaurera une gouvernance démocratique sans précédent dans la marche du football malien.
Jeune ayant bénéficié il y a environ 30 ans de la foule d’expériences multiples et multiformes de grandes figures du football malien (Karounga Kéïta, Dioncounda Samabaly, Mamadou Samba Konaté, Abdoulaye Diawara Blocus, Salif Kéïta, Issiaka Sidibé, Tidiane Mégnan Niambélé, Hamadoun Kôla koïta , etc ) il s’attèlera à son tour à faire émerger de jeunes cadres, contemporains de leur temps, à même de relever efficacement les défis d’un avenir toujours meilleur, radieux pour le football malien.
Convaincu qu’il est, qu’à chaque génération, son chantier, son devoir vis à vis de son pays.
Bavieux est un homme de conviction doublé d’un homme d’action qui a aussi le sens du respect de la parole donnée.
Autrement, si l’homme est élu le 29 août 2019, le monde du football malien se surprendra à se pincer pour savoir s’il rêve ou pas tant l’homme fera porter par ses actions et celles de ses colistiers, un football malien très fortement traumatisé, sur des hauteurs inouïes, des crêtes insoupçonnées.
Au regard de tout ce qui précède, comment ne pas soutenir un tel candidat, un tel programme, un tel homme qui a dédié l’essentiel et le meilleur de sa vie au football ?
Comment ne pas lui confier le destin d’un football devenu atavique pour lui construire un avenir post traumatique des plus beaux et des plus heureux ?
Comment ne pas élire cet homme de passion, cet homme déterminé, cette force tranquille, ce travailleur forcené, cet homme du peuple, toujours tendu vers les autres, ce grand commis de l’Etat rompu au travail en équipe , qui se donnera les moyens de réhabiliter et de relancer le football malien en le faisant quitter à jamais la rubrique des faits divers sportifs dans le monde entier.
Je témoigne de tout ça, pour avoir vu l’homme en action souvent au péril de sa vie pour la cause du football malien, en ma qualité d’ancien ministre des Sports, et ce, aussi bien à Bamako qu’à l’extérieur. Et Allah est témoin que je ne parle que de ce que je sais de l’homme.
Ceux qui me connaissent savent que la flatterie ne fait pas partie de mes nombreux défauts, non, ce n’est pas le genre de la maison.
Et Par Allah et par éducation, il était de mon devoir, en ayant eu pleine connaissance des lourds sacrifices consentis par cet homme pour le bonheur du football malien, tout le long de ces 30 ans de compagnonnage, de témoigner de ses qualités et de sa capacité à assumer la Présidence du Comité exécutif de la Fédération malienne de football.
Voilà pourquoi, entre autres nombreuses autres raisons, le Stade Malien de Bamako, toutes instances concernées, soutient la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux qui lui a fait l’honneur d’accueillir sur la liste qu’il conduit, votre modeste serviteur, ci devant président du Comité de gestion du Stade Malien de Bamako.
Mamadou Diallo, ancien secrétaire général adjoint du stade malien de Bamako et de la Femafoot:
“Bavieux Touré est aujourd’hui l’homme de la situation pour gérer la Femafoot”
Nous soutenons la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux pour la simple et bonne raison qu’il est l’homme de la situation au vu de tout ce qui se passe dans le football malien de 2015 à nos jours. Il est sur un terrain bien connu avec une expertise et une expérience avérées et acquises depuis plus d’une trentaine d’années. Il est aussi un homme pacifique, conciliant et discipliné dans ses relations.
Ces atouts se trouvent inclus dans les raisons que nous avons évoquées et qui nous demandent de soutenir sa candidature durant toute son existence dans le monde du football, du Réal de Bamako (club d’origine) à la Fédération malienne de football en passant par la ligue, il n’a fait que montre de tolérance et de culture de football gage de Faire-play.
SOUMAÏLA COULIBALY, ancien capitane des aigles du Mali :
“Je soutiens Bavieux parce que je l’ai connu dans le milieu footballistique depuis que je faisais mes débuts en 1993”
Mamoutou Touré Bavieux est quelqu’un que je soutiens pour sa vision pour le développement du football malien. C’est quelqu’un qui connait bien le football malien. Un grand homme que j’ai connu dans ce milieu depuis quand je faisais mes débuts en sélections inferieures du Mali en 1993. Bavieux a toujours été un dirigeant sportif qui ne pense qu’au développement du football malien. Quand lui et ses compagnons nous ont démarchés après le retrait de notre candidature à ces élections, nous n’avons pas hésité à le soutenir parce qu’il est le mieux placé pour gérer la Fédération malienne de football. Il a aussi un programme qui mérite d’être soutenu et il a le soutien de beaucoup d’anciens footballeurs du Mali.
Bavieux est quelqu’un qui veut travailler avec tout le monde tant que c’est pour le bonheur du football malien. Il le dit toujours, il est ouvert à tout le monde. Il n’a d’autres intérêts que celui de notre sport-roi. C’est quelqu’un qui communique beaucoup et qui est à l’écoute de tout le monde. Bavieux a aussi une grande expérience dans ce milieu pour avoir apporté sa touche. A mon avis, il est celui qu’il nous faut pour sortir le football malien de cette impasse qu’il connait depuis des années.
Alioune Badra Diallo, vice-président des onze créateurs :
“Bavieux est le candidat idéal pour gérer aujourd’hui la Femafoot”
Alioune Badra Diallo est un vrai connaisseur du football malien. En tant que vice-président des Onze Créateurs de Niaréla, il soutient à 100% la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux pour la présidence de la Fédération malienne de football.
Peut-on savoir pourquoi vous soutenez la candidature de Mamoutou Touré dit Bavieux ?
Alioune Badra Diallo : Qui dit Bavieux dans le milieu du football malien dit quelqu’un qui a une grande expertise dans ce domaine. C’est quelqu’un qui ne connait que le football en termes de sport. Cela fait plus de 30 ans qu’il est dans ce milieu. Vu son engagement, sa volonté et sa clairvoyance dans toute stratégie de développement du football, Bavieux est le mieux indiqué dans les instances du football national. Il a eu à faire ses expertises dans le football national, continental et mondial. Nous le suivons dans ses visions pour un lendemain meilleur du football malien.
Et les atouts de Bavieux pour diriger la Femafoot ?
Il y a un axe très important pour pourvoir réconcilier les acteurs du football, c’est l’expertise dans ce sport. Au vu de son vécu dans le football et la maîtrise de ce sport, il est le candidat idéal pour réconcilier l’ensemble des acteurs du football. Mamoutou Touré dit Bavieux a aussi une grande vision dans ce football. Raison pour laquelle il serait facile pour lui de réconcilier les esprits et les cœurs afin que nous puissions sortir définitivement de cette perversion que connait notre sport-roi. Je pense que cet axe est le plus important de son programme parce que c’est delà que partira pour de bon le développement du football malien.